d'en tue
quela
Li î la
son "aide et.i
‘pu donner
s. h :
re Nous profitons dè fa circonstance pour
Chanoine Bélanger et à issieri
LR] r3 »
° #2 Le Vatrioté dé l'Ouest. sous le titre
” servi à se lecteurs un article d'une
_ Les faits qu
fl (a
,
: “Autour de l'école”, à |
ses paroissieris reconnai
toute notre
FOR 0: !
ce que, nous voyèns au Manitoba, pour qu'ils ne soient un “Ma UE LA
jet de-lümière sur les visées paiennes de ceux qui, à Regina M: er + Pad tu “Droit” = # Nr
“comme à Winnipeg, se sont instéllés ans les’ ministères d'ins- FRERE F5 ets LE ; ÿ"
4 À * .. q F ot à É V 3 4 2 à LPS AS A1 pe : » MS s :
Sie dures dans PObUE UE vue journal le “Dir depuis Jon et de
> ni Æ LA dre. k + + FE ÿ ZE. 1 2 IL. da n partou
Que nos lecteurs lisent attentivement les lignes qui suivent, Joar Li eff Cppr sd mn age Sn oir GP à
tiipruntées au Patriote dé l'Ouest, etqu'ils les mettent sous lez où il pénètré.. Aussi je suis heuretx male Lan
dans presque tuutes"tés fanulles de mu parois Comme le
“Droil” a besoin d'aide. pécuniaire, je vous inclus, outre mor
abonnement, yné contribution légère, il est vrai, Wrüis qui me
fait du bien. Votre devise est “L'avenir est à veux qui luttent”.
Continue, O Droit! ta noble mission qui est de délendre notre
foi, notre langue éf nos traditions. Canadiens, témprenons la
nécessité d'un tel journal et faisons des sacrifites pour qu'il
puissè continuer sa grande et sublime mission.
ere Avec estime, ; *
Votre bien dévoué, Li |
5 .!: JP. Bélanger, Chan. et Guré.
Saint-André-Avellin; 18 août 1919. - ns pi)
yeux de ceux qui ne sont pas de nos abonñés >"
“D'ailleurs. il né sert à rien Ge se bercer d'espérance. Nous
. @ssislons à yne puissante campagne, d'autant plus: redoutable
qu'elle PR cachée. El le Département did Education, s'il
n'est pas à la tête de cette campagne, semble en être l'instru-
ment, sinon le centre.
Beaucoup de nos commissaires d'école, beaucoup de vs
+. instituteurs. ou Mslitutrices | pourraient en témoigner. ge
Ces jours ‘passés encore, l'un des inspecteurs dont le gou-
verhement nous affligé, le trop célèbre M. Keith, enlevait le
crucifix des écoles de Bellevue et de Domrémy, pour bien mon-
grer probablement que cette lutte, cette. persécution plutôt,
sfadressait antañt à l'idée religieuse qu'à notre langue.
Peut-être objectera-t-on que cel inspecteur peut avoir les
idées légèrement-dérangées par son séjour prolongé. dans les
Flandres; mais le Département de l'Education semble le cou-
veir de toute son autorité, el en tout cas ne le blâme pas.
Cel:inspecleur ‘n'est point une exception: et il semble bien
que lui el beaucoup de ses collègues ne font que s'imprégne,'
le l'almosphère qui règne dans les bureuux du Dépärtement
. de l'Education: ut un
7 0 Et partout où nos commissäires, respectueux dé la loi, mais
forts deleur dfoit, résistent à la tyrannie des bureaucrates, of
les menace de la nomination d'un commissaire officiel.
I fallait: que nous arrivions à ces temps. de démrocratie à
outrance, pourvoir ün gouvernernent populaire baillonnant la
TT voir des-électeurs-et suitituant ses créatures aux élus du
peuple” Eos ;
Ce que le Patriote dil des commissaires d'écoles ‘et des ins-
74
vf
AU COEUR DE LA QUESTION | faut faire notre possible pour amélio-
—_— rer les conditions de la.vié et élever
Le Cardinai Bourne pose le doigt er le moral de fx nation par tous Îles
la grande plaie qui ronge l'Angleterre |'moyens en notre pouvoir. Mais ous
PR ou savons une chcsé: pouvez avoir
la moralité la plus élevée dans les mi-
lieux matériellement ‘les plus horri-
bles, pouvez ayoir aussi la plus
grandé immoralité dans des milieux
+
- Comme la France, daus une woindre
muvsure peut-être, l'Angleterre se sent
roagée par lé chanere de la décadence
de la race sous le double rapport du
liré, Pour remédier au ral, lé Conseil
National de Ja Morale Publique tenait |.
récemment sa réunion anpuelle à
Lansdowne House, Londres... H avait
Luls à l'étude la question suivante:
‘Comment maintenir et perfectionner
& race?" ‘Un Hombre d'ora:
<ars 6 leurs:vucs, firent des
Mais aucuutre sut don-
d'au
vents Sanitaires et-hygié-
& ‘Noës ne relèseréz ‘pas la race si
vous n'inculquez ces principes dans
les intelligences, les consciences de la
nation. Je vous prie, avec toute l'ar-
deur dont je suis capable, d'examiner
ces principes à la lumière de la tradi-
Uon chrétienne.”
iitutrices de lu Saskatchewan ext également vrai au Manitoba, vsa poser le duigt sur le mal. AT j
«1 pourtant nous né sümmes pas sous la même loi scolaire. 4 hstatall là décadence, majs on | PROMIS SURCHARQES *,
Nous avons plus d'un de ces faits: nous pourrions les jeter vOuit poini trouver là cause nn
eme, le Cardifhl Bourne fut
rrésenté à la foule par l'évèque angli-
ane le-public: noûs uvons préféré les passer sous sifénee. 1 On ne plaint dise mahéiuFrance.—Ae-
Le à * Es marques dont «ppurrions tirer
faut savuir encaisser, quand on sait qu'une lutte doit étre, loft. lé‘ AMOR Pa NP tions. Me
nue, mais, 10ih de né Ju med 14 ai véux qu? crôtént que Ta Te un. de nos e v a
r'änds citôgens”. :
Entrant de plein pied dans son su-
let, taillant dans le vif de la question,
le cardinal signale dès Je début le di
ce qui existe entre a -légisiation
sociale et les lois divines.' Cette lacu
ne signalée, le mal fondamental mis »
a, il Indique le remède unique auquel
racourir : : is
mésure va bientôt déborder. ;
* “Patlenéé: et longueur de temps:font plus que furce.et vou-
rage": "c'est vrai, mais la patience a parfois une limite.
Ce que le Patriote raconte de M. Keith par rapport aux
crucifix pourrait être rapproché d'une campagne menée par un
de nos inspecteurs manitobains contre deux croix qui le fati-
guent dans, son. district. Celui de la Saskatchewan a été plus
cffronté, inais il faut dire que le nôtre à trouvé à qui parler
Cela udoucit parfois bien des caractères Enfin lu pratique de
substitution du fameux commissaire officiel aux commissaires
régulièrement élus par le peuple est l'eXüete cupie de ce qui se
fuit au Manitoba. Ra SR
Rien ne peut être plus arbitraire, rien de moins démocra.
tique.
|. Sous le titre ‘Le péril des études";
M. H, Reynaud fait vigoureusement,
dans la Croix, de Paris, le procès de
la surcharge des programmes.
Ce mal de la surcharge des prograrm-
mes est presque général. Des éduca-
teurs de mérite le tiennent responsa-
ble dé la décadence des études, ‘ : :
M. Hector Reynaud parle des pro-
gramines de l'enseignament secondai-
re, mais ses remarques n'en ont que
plus de poids et de forcé, car l'enfant
|de l'école primaire requiert plus qué ce.
lui de l'école secondaire un programme
logique, adapié à ses besoins’ essen-
tiels, et sans aucune surcharge. Le
cycle d'études de l'enfant de ‘l'école
primaire ne doit pas être étendu; il
doit se bortier aux matières indispen-
sables et qui füi seront d'un acquis du-
rable et permanent. 1] ne lui sert de
rien de tâter de multiples sujets’ qu'il
ne fera qu'effleurer et qui dans là vie
ne lui seront d'aucune utilité.
Revenons aux critiques de M. Rey-
naud. Tout d'abord il note la surchar-
ge du programme littéraire et ce qui
en. résulte ) je Û -
“Hs nous paraissent, écrit:il des pro-
grammes, depuis quelque trente ans,
singulièrement alourdis, je dis en ce
qui touche aux connaissances Httérai
res. Si j'omets à dessein la partie
scientifique, déjà fort étendue, imposée
à un-candidat au baccalauréat ès-let-
tres, je le trouve en présence d'un
nombre considérable d'auteurs grécs.
latins où francais, dont il pourra tout
‘à péine parcourir le texte d'un regard
rapide et superficiel, Arrivé devant
ses juges, il sera censé avoir lu et
| étudié en entier Homère, Sophocle, Dé.
mosthène, Cicéron, Bossuet, La Fon-
taine...j'en passe, et des plus célèbres
Comment voulez:yous ‘qu'un pauvre
potache suffse ‘à ce labeur? Que fe.
ra-til alors? Ou bien, en élève avisé
et sur le eonseil de maîtres æxpérimen-
tés, jL prépärera avec le plus grand
soin ‘cinquante ou cent pages de chà-
que auteur: ou bien il se contentera
. Vous me permettrez ce toucher
: un côté de la question que l'on peut
trop facilement oublier et. qui est
iprès tout fondamental. On base ici
* arguments pour défendre Ja légis-
ation, presque toujours «ur. les incon-
.'#nients; la ‘gène et les’ souffrances
endurées dans les conditions actuelles
ié
Vositions qui, examinées de prèa, se
révèlent comme poussant au danger
&xtrême du bien public Je crois que
L
oser ces questions:
“1o Admettoné-nous qué, la voix de
la conscience nous lie formellement?
“20 Les dix commandements .nous
ientls encore?
‘So L'antique tradition chrétienne
*st-elle l'interprétation fidèle de la va-
leur et de 4a portée de la loi naturelle
lans la conscience et de la’ lui posi-
tive donnée par Dieu?
“Ces principes adinis, comme je, les
idmets, :on- est obligé d'aborder cette
question d'une façon tout à fait diffé-
ente de ceux qui nient l'obligation de
a conscience, l'autorité des dix eom-
sandements, Ja tradition chrétienne.
“Je m'oecuperai surtout des efnquiè-
ve et sixième commandements... D'a:
rès ‘enseignement chrétien, la seule
néthode permise est la continence| vo-
‘ontâire par consentement mutuel De
Plus, la vie est un don de Dieu si sa-
.cré, que dut obstacle à cette vle, mé-
me dans sa condition pré-natale, est
un péché grave, Enfin un mariage va-
lde'et consommé ne eut être dissous
par aucun pouvoir sur terre, : Voilà
les trois principes qui sont maintenant
ouvertement et positivement attaqués,
‘Qu'allez:vous mettre à la place” Une
xpinion publique éphémère et chan-
zeante ?—,
“Quelques-uns d'entre niÿus ont été
et qui produit | péniblement fmpressionnés, au cours
; j la guerre, par Je ‘scanttale des rues.
ENS ai 2 », +. 1 était clair que des, jeunes filles —
Quand la mentalité est iorilée à. ce, diypason, elle fait ver- | certaines n'étsiént guère que des en-
ser quelques piastres, mais. elle fait aussi faire bien autre chôse:! fants — tentaient ouxertement , nos
Ceux-là ne sont plus du mombre de ceux qui-disent: “Cela he rte ge: ag Rave ren ven
° nds te La $ / ” . ! dalent ce moignare: Neus avons
.\ne regarde pas, mot je me me le de mes affaires. Loerté à co etes Alcei-elles àe-svnt
La traduction de ces paroles en lingage ‘courant est labos immorsles; mais simplement non
suivante; “Je suis un parfait égoïste qui n'a de souci que pour | morales. Elles disént: Si je veux vi.
ses aises ét sün estomac." n Eh Yre de cetle façon, si jé ne fais de
ti RARE i A à! * - ° mal à personne, pourquoi ne le feraiz-
Le voiti”notre exemple d'action. Nous l'empruntons au je nas” : : «
xuillunt Droit,en faveur duquel se-fuit une souseription-popu- |: “8; vous mettez de côté les prieit | là préparation- immédiate n'a pas êté
luire, ‘ Puissg-t-il stimuler es nôtres'et susciter des imitateurs. | pes clairs et définis et que les chau-! comme la résultante ou le couronne:
"EN'FAVEUR DU DROIT! — LETTRES D'APPROBATION :|#uments exigés par vobs wolent basés | ment d'une, lente forination dÿ savoir
"Nos lecteurs pourront lire, dans une pageiintérieure de ce SU ES + Or 0er de, Mas. In née
Journal, une courte notice.æur la paroisse Saint-André Avellin. | vous reste plus de #rincipé pour ar-
portance —.et voilà un point de vue
sur les inconvénients, lés inquiétudes, |
des peines qui affiigenf l'individu, 11 ne | thode suivie dans les, classes de gram-
L maire, paraissent d'une extrême 1m-
Noyy sommes heureux de reproduire, ici, la lettre sympathique | rèter Yabaissement rapide de la na-
d' ri ; : . : | Gon une fois sur cette penta Oui, 4] que négligent les trois quarts des 6co-
*: : « x $ ; f. ; et
Serutil vrai que des chrétiens éndureront encore Jong-
lemps le paganisme pratique que semblible campagne scolairé
implantée partout?
Combien de temps des citoyens conscients de leurs droits
se laisseront-ils confisquer les plus cuirs de leurs prérogalives
à élire et à tenir en exercice Ceux qui doivent représenter: les
parents qui seuls, à peu près, ont de véritables droits duns k
… règne des écoles? :
L'état maître d'école est une horreur; il ést chez lui dant
‘ les écoles comme nous dans l'empire du Grand Turé. Quand
uurons-nous un électorat au coeur assez fier et au'pied assez
solide pour le Jui signifier sans embyiges ? SA
+
Exemple d'action |
s ë EL 4 +
Nous parlons parfois l'action: voici uy exemple de ce que t
—Hous. considerons-comime-de l'action qui compte
un résultat.
érudition' de manuel, et: tentera l'é-
preuve comme A haïard dé la ren-
contre,” ta
N'est-<é pas cela au Manitoba? N'est-
ce même pas pis? N'avonsnous pas
‘| un programme de Mttérature qui obii-
ge nos enfants, les classes avancées à
s'Attaquer, à la” fois, à plusieurs des
française? à parcorrir ce vaste cycle
d'études littéraires en un très bref
temps et saus préparatioi- wrélimi-
naire?
Comme nos autorités scolaires s'en
fichent de la préparation pédagogique!
Et comme elles sont appropriées au
Manitoba, les remarques de M. Rey-
| naud sur le défaut de préparation des
élèves. . 1
“Que regtet-il dela préparation à
l'examen, demande-t-1l? Rien ou peu
| dé those, mème en cas de succés, af
#,
ren , k ‘ r
é
F :
exprime LS
À LL
l'on a surchärgé, parce que l'on n'a
| pas su préparer:
de notions plus ou moins vagues d'une;
auteurs les plus difficiles de la languë
l'examen et vous ‘serez. stupéñlés We com rendre, C’est ainsi que M. Soun, | : Ver ° 4
constater que bISù peu a syrvécu, à délégué de lu république chinôtse, en | de donner et lu vieille ef la nou-
ces dix années: L'élève, durant ses | décorant Mgr Reynaud; reconnafssait velle adresse, IL est nécessaire ; 2
études, à fait un ‘’partours-8n aéropla: | hautement s n erreur, confessant sans | QUE NOUS ay : ,
We-sur l'immense champ” dés études. mn pré ou rendait à la |udresse afin de pouvoir trouver. :
Rien dé plus, . : [loyauté des citoyens catholiques un | votre nom sur Ju liste, Avertis- Û
PA» 0 ge dr ps magnifique cr igacus 1 * rage est|sez-nous immédiatement de vo:
’ e ver e les édu- en: on ne saura onc le soup- . jé
cäteurs ne l'oublient pas. pe her de partialité, Ajoutons qu'il ze changement q adresse. 3
ÉD parlait en présence de nombreux au b- ere Le
M 53e arins, presque tous idulâtres, - 2 |
LE PAPERANEE DES FERMIERS- me Lam le dos à un passé d'erreurs | : è VA F :
UNIS D'ONTARIO ‘Je désire délivrer ma couscience, | ! ASTON DER QU AE |
du DEA CARO ‘| ‘messieurs, d'un lourd fardeau en vous T10! IS CeE, AE
TR et Mau on actes Logiont que je me auiy trompé. Qui MANITOBA. “eo
téé a Poe moeurs Ph lait s'il d'y en À pes, parmi vous, qui SEE le
14 LA : “n'êtes pes chrétiens, qui ve mn rc DES INSTITUTRICES ! | À
us Posters tn d'Ontario _ de-|.…Xon. ne bare Perret l'el est le cri d'un grand | ?
. viennent. ‘ne force qui. Je ons eatholiqué thon. 4 PT #
De aux parti PoITEIQUeS € AN Doi à mer en Cine; coinme dans le reste | | #COldires. re ner |
qu'on n'osé mêmé pas, dans ‘du monde, le catholicisme est le tou-| | eriseignant est restreint,
circonscrivtions électorales, ‘leur “| “demeut du patriotisme le plus pur et | linais pas insuffisant. | É:
poser E adversaires, Déjà 67 candi |“la source intarissable de. l'abiéga” Nous invitons toutes les |
dats ermlers-Unié ont été mis en “tion nécessaire aux sacrifices Qu'il institutrices quali ces qui |:
nomination, C'est plus -que‘n’importe “4 de, La guerre est vente cot-| | \ S N7 J d F
quel des autres partis. Dans tous les |, 2° "080 + » à So :| | # ont pus en Orerouve @e |
milieux ‘politiques ontariens, on con- not me LA tot a ni pré | classes de s'adresser d nous |
cède l'élection d'une trentaine de fer-[, "le. Ces. grands “homnes, 2e l‘au plus tôt. Nous pour- |
ss APT : . |‘grands généraux qui. vunt sauvé. le lpi duc r x
mlers Unis, soit plus d'un quart de la l'monde et plus spécialement leur pro.| |://0/18 en placer une tren- |
a se pourralt que ce “re pays, étulent-tous des catholiques | | laine en: peu de temps. Fax
Vo eee des Fermiera. |:P'étiquants, surtout -1é maréchal| | Les permis sont presque |
tin Où ones siens au “Foch, le plus grand de tous. La s0-| | impossibles à obtenir; en
pe fuit None cree pratique LOS: ‘lutiot de ce qui peut vous sembler | conséquence, nous conseil- (|
tario ne pourrait que s'en trouver bien. Eaux énigme, © pe que Suns foi| | lons aux inslitutrices dont | i
à ‘religieuse, et je n'hésite pas à placer | des certificats sont exniré
Considérant que la population fu: “la fol & i # cer . $ /
ste d'Ontario va ‘toujours en -dint 14 ol Catholique au premier rang. | |! Je faire tous les efforts
Rio q : 8 CM | «vous ne pouvez pas avoir, Où ce n'est Aou : l à "r
nuant depuis plusieurs “années, étant | sOu'avéc difficulté que. vous aurez. l'a. | pour suivre les ta Na »
moindre de 139,000-en 1914 qu'en 1881, | “mour véritablement désintéréssé qui | | dagôgiques de l'Ecole Nar- s
ot Cela malgré l'everolsiement ‘ant | “juequ'au mücrifice, st la vatienes | | fdle. Elles'èn profiteront: |.
rel de la population, malgré. l''mmi- “dans l'épretVe.” ‘ Es 5 —— CT
7 et les progrès de la cotonisa. | FE { Hors | | hé des ne | #4
… Mnsidérant que la-vie dans la cam: | l L SO es Œ eCOIes a eu eu; Le |,
6 est devenue difficile et même! Â ( J (à à | | sccrélaire de-Chique a ep TA
pénible et que la production du sol a | ” 6 sas 7: Arai un cents Lead | |
été enrayée. Û C4 1 “
+Sensidérant que les conditions ac. | 7 Et , .| : ciable en nous en faisant
tuellez dans les districts ruraux sent! Ditnunche.-te 2X septembre parvenir le rés:!lat. |
évidemment dues à ce que les profits| réunion du Cercle La Véren:| ! LE SECRETAIRE. :|
réalisés par l'industrie rurale et par drve, La motion qui engageait | EST ) | 4
Vindustrie urbaine sont absolument! chaque membre ‘à: "emmener eus #4
ou, ét cela à cause de la prépon- uhe houvelle recrue x été efti- ù dat ist à +
rance exercée aux Communés eu que 2 lu ‘salle’ét itr lie. | Eros
me dans les Légisütures par les ‘in- CHOC Car: 14 salle Eu DER, Li, | ROPAGANDE / ;
téréts privilégiés des villes. 1 Le Révérend Père Directeur | S à
Considérant que la dette publique dç | à donné une magnifique confé = ; ‘
la provincé a augmenté d'une manière rence sur l’ouvrier-et le Capi- | gr LS L {
Aatmante—(étant de plus de cent |taliste. Travail sérieux mais! Nous avons loujours ën main
rallions de piastres)—et que les dé | intéressant, : La vérité est tous Hivrés. et brochures d: propu-
feina-tols plus élevées que ve quent| jours captivante, . ‘ |gande française, que l'on peut
ane | Re QE Le Révérend Père u le mérite |se procurer toujours à des con-
Céanidsennt bus los ‘éons dati avoir été. instructif et prati- ditions faciles, à notre Comité.
partis politiques sont responsables! QUE. Il &. dévoilé d immenses. Voici les titres et prix franro
de cet état de choses. . ‘horizons. En effet, quelle étu-|de-quelques-uns: ’
Nous les “Fermiers Unis d'Ontario” | de aujourd’hui ô6ffre plus de “Pour la défense de nus
croÿons' remblir ün devois envers la complexité que celle des misé- Lois Françaises”, Anto-
province et envers nous-mêmes en de. | res sociales ? : : - . L
mandant une représentation indépen- | En L REP mo Perreault AA dis 1$ 25. v
dante dans la législature avec- le pro- |. lant que lu religion chre “La Naissance d'une Ra-
Mme suivart: tienne détermina les rapports ce”. Abbé L.: Groulx...8 :76
\1. Retrancher toutes les dépenses | des livnmes et des sociétés, il : ! FRERE ” RE.
Qui ne sont pas abéolument essentiel-| NC surgissait de cette question|“Les Hapallages', Avdé
les. [que de rares difficultés. Au-| Lionel Groulzr- édition en
2. Abolir le système de patrosage | jourd'hui, tout n'est qu'égoïs-| de luxe "...::.%%,;,. 8 (6
de parti. $ ine et huine. = . Edition populaire vice n 25
8. Limiter l'intérvertion du gouver tas DRASS Élus ñ Û : .
nement dans la coopéretive commèr- en Por ne css ni = A A postoli ré du
clsle à la législation en encourageant |‘ Congrès dans le but de ré- enri Bourassa: édition
: à l'éts #Hublir l'harmonie entre d'éu-t de luxe. # 60
le'travail coopératif, à l'établissement. *°2 : . it arr , 184 4
statistiques absolument sûres. et à | Vrier entre l'ouvrir ét-k/capi-! Edition populaire ..... $ 2
la dissémination des principes Coopé- tuliste, c'est >arfait, mais ils “Choses ‘qui s'en :vorit''
ratifs. fn'arriverenñt à aucun résultat | Prive Gilles, O.FM.- eo” 2%
. 4. Fournir dés facilités égales d'ins- | S'ils s'obstinent à traiter le pro- ARE : SN Tes
truction à tous les enfants de toutes} bl£iné au point de vue: maté-!"N otre Jeunesse”, Guy Va- ÿ
les Classes. en augmentant considéra- riel, en négligeant son coté mo-| "Her ..:..:0 0%, , ur 4 214
d'instruction” dans dos dire agen [TA CET: à So LE RE NER eM |
74." Subetitebr à" 18 avététions rs Lu Question syciule est régie PATNAHENGURE « Hen- jo
grandes" routes provinciales : dispen- | 47 des principes MOoraux, non? A4 tar A EEE A $'A0
dieusés, une politique raisonnée de ré.| Par l'urgerit. , L 4 Déportation des Aca-
eaux de themius-blan tenus, en fai! L'Eglise « sur: ce point unel : diens”, Henri d'Arles. .% A0
sant de bons chemibs pour tout . ‘le doctrine ‘sublime devant. la- Orctrouvera à ta 1 é 9, Îri
monde plutôt que de #randes roùtes | quelle s'éclipsent avec honte les Colonñé, une liste ie de sh |
d'un haut prix pour quelques-uns, le |; urs du cavitali : , Mur, pe co préle Ues : ;
coût de. constrüction «t d'éeatrètien de- she d 8 SE ita *spe rationa- brochures, tracts LA livres LUE Ci
vant être éjuitablement pa-tagé'entre l ss + oh 2 pue Lei vente par notre Corrité.. |
les villes et'campagnes, J -Le Révéren ere Directeur , PP: ET
& Etablir, dès inéchodes d'exploita- | 4 droit aux plus sincères félici- Comité de Propagande . n:.
tion forestières qui maintiendront et|tations etrà la plus entière re- À Se mec LaVépendrye, D T—
sugmenterant les re7enus de cette cpanalssahce des membres du| . : 39 Avenue Proventher.
source; protéger.st pèrpétuer nos res. cende. . SU CNE k Saint-l an. .
Re cu | |. Fee
le soumettant à un Con- h Ft
F3 ‘
ës.
des trôle efficace ; | 4 for + | a # ä à
juiliet der-| : #. ét mettre. on vigueur | Nous félicitons lès cercles rt- 1
qui ‘edé| télés 1éis dé prohibition contre lu ves-|raux dé lu besogne qu'ils ont.
nte ans. un|te des liqueurs que le peuple. sanc | uccomplis pendant les uñnées - :
passées .ct nous les invitons à
publier ‘le compte-rendü de
leurs réunions. Il est impor
tant, daus'une organisation de
lutte, que l'un. sache £e que :
l'autre fuit. (4,
L
du progrütume des Fermiers-Unis
Comment remébier à cela? D'abord d'Ontario et ls mettront twite leur in-
que l'on épargne à de Jeunes cerveaux Muence de ce côté +
un surmenage sans profit: que de mé-| ?. :Recourir plus fi iqueinment à
me que l'on dose, la nourriture à des | Pratique de la légisirtion directe y
organismes en formation et croissance; | le referendum et rs populaire.
que l'on approprie à l'intelligence, à 1a! 10. ‘Appliquer je -pribcipe
mémoire et à l'eapr't.des écoliers un présentation proportionnelle
aliment intellectuel d'assimilation fa. | tions. FA rule des membres du Cercle, -+
cie. . | ‘pie Ceux qui désireront se confes-
H nb "suffirait pas de aonner des|ON PEUT ETRE Car HOLIQUE erlser pourront se rendre vers les
"matières assimilables, maîs 4} faudrait SON CITOYEN : F8 heures et demie: il y aura des .:
encore en limiter la duantité, Même : cvonfesseurs. : cr
l'aliment assimilable, donné en trop Le témoignaÿe d'un: Chinois : Les anciens membres coté *
|grande quantité, est mauvais, 1! ne Toute une école d'un sèectarisme in- les nouveuux, nous le croyons,
faut pus Que la quantité dépasse Ja | curable et d'une ignorance crasse ne se feront nn devoir dé s'y ren-
UE sujei. 11 faut toujours se ger-| cesse au Canada de prétendre qu'un d u
der de l'encombrement. €ar Ce qu'on |bun catholique ne saurait être un bon | Ure.
gagne en étendue on le perd en pro-|citoyen. Celui qi s'est engagé à obéir É:
fondeur. ; [au Pape-re saurait, selon eux, fidèle-
. Æombieñ-vrai ay .Manitoba’ Qu | ment obéir aux lois de son. pays. Pour
sont éteñdus nôs programmes, mais! qui sait ce qu'est l'Eglise catholique,
qu'ils pêchent par la profondeur. Qu'au-| c'est tout simplenient ridtwule, muis 11
ra retenu dañs dix ans dù programme | est chez nous des gens Qui ne savent
l'élève le plus brillant à l'examen? Po: | ni voir, hi comprendre, et qui ne veu-
sez à dix ans d'intervalle les questions | jent ni l'un ni l'autre. Tout sutre en
auxquelles il répondit avec ‘succès à Chine: là des payens savent voir et
4
"+ ;
“ Dimanche prochain, le 5 oe- :
de la re ltobre, aura lièu au Collège, à ÿ
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tes et de nouveaux joueurs ont
_ surgi à Ja Fables 4 heure dont
00 né savait qüe-peu de chosé,
mais qui se sont affirmés de!aûx
ps ct des plus habiles:raquettes. |tout
outure s'est aussi classé avec
a“vantage par sa onde" En,
tendue sur Raymond. Enfin, ““Le‘résultat général des con-
Taillefer a complétement m lé}coursya été comme suit : :
les'cartes dés prophètes, élimi-| Simples pour hommes (Cou-
nant en succession et Bougard |pe Cusson) : L.-P. Roy.
et Lacerte, et_ né _suecombant |: Doubles pour homes : (Cou-
cufin que devant Roy, après un |pe Dubue) : L.-P. Roy et H. La-
. Match où la fortune hésita bien lcerte. s Ft
souvent en sa faveur. Des vé-|. Simples pour hommes :
trans, Roy'et Etienne Prender- {dicap) : A. Taillefer.
gast sont les seuls. qui aient} Simples, pour dames: (Cou-
ajouté à leur réputation. … |pe Bénard) : Mlle B. Olivier
(han- \
istence de
sûjet qui’ a été discyté.
peut qu'il e
il se’ peut aussi ait
as. Je mme plais à espérer que
‘honorable député ne doute pas
de ma parolé
un fait absolu. ‘ Je lui dis que
les membrés du cabinet “Anÿtais
ont admis que la ratification de
ce traité doit être
parlement
nous désirons, que nous
geons que
prononce sur ce fra
conseiller à Sa Mañesté de le
rälifier au
-Le très hon. sir Robert Bor-
den: Je n'äi pas parlé de l'ex-
L'hon. M.
crois sans réserve à lôut ce que
dit mon. très. honorable
ien que nous ayons peut-étreé
Parlement. canadien emende |;
l'approuver ou le rejeter, je.!
docurnents. C'est ün!40ïs lui dire qu'il en est encore
Il se:
xiste des documents. !
qu'il n'y en ait
ces dernières années. il y a cent ans.
quand je lui cite
proposée au
canadien, et que:
exi- é ;
notre : Parlement se :
Ve avant de e
nom du Canada.
Fielding: Certes,je |} 0! e
3,900 millés et ne pas crever. Nous somn
ami.
de graïde résistance et qui jouit des mê
, Chez les damés le jeu est de-
ténu moins timide ét partant
plus scientifique. Mlle “Olivier
s'est assurée la coupe Bénard,
el sa victoire a été très popu-
lajre. : Déterminer celle qui
pourrait être classée en tête de
la liste des dames esi
nent « R
Sommes-n
e
Pratiques
5 une nation
Doubles pour dames: (Cou-
pes Roy et Lacerte): Milles Y:
Prendergast et McLéan. :
Simple pour dames: (handi-
cap):, Mlle Y. Prendergast ou
Mile ‘Ant. Prendergast (à jour).
Doubles mixtes: Mlle Coupez
CCM RDV TT
D = ==
\ ,
M. Fielding pose
,
—LEhon- M: Fietdiig (Shelbur-
ne-et-Queen) : Oserai-je prier le
premier ministre de compléter
ses intéressantes, instructives et
utiles-explications en répon-
dant à une question que je lui
net” et
je l'espère: je serais bien aise
de savoir ce qu'il pense des
conséquences que pourrait en:
trainer le refus ou la négligen-
ce ‘du Parlement canadien de
ratifier le traité. De quelle nra-
nière et à quel point en souffri-
raient les. intérêts du. Canada,
de l'émpire et qu mondeentier ?
Le très hon. sir Robert. Bor-
‘den: Le défaut de ratification
par le Parlement entrainerait,
11 va saps dire, la chute du mi-
nistère qui soumet le traité à
l'approbation des Chambres.
L'hon. M. Fielding: Ce n’est
la question. Interessant debat
‘qu'il estimera légitime, |
| faut de ratification du traité:
| Quelles en serdient.les consé-
| quences pour l’une des nations
intéressées? Que noùs importe
| ou qu'importe à l'empire où au
| monde que nous ne ratifions ja-
| mais le traité ?-
Le très hon. sir Robert Bor-
den: Voici: le Canada se tien-
drait à l'écart du veste de l’em-
|pire. Cela l'obligerait à agir
| d'une manière indépendante, à.
Ltel point, qu'à l’avenir ‘on ne
‘pourrait pas.considérer qu'il
voopère avec les autres nations
de l'empire. k
L'hon. M. Fielding: En tant
que partie de l'empire, le Ca-
nada, dans tous ses rapports in-
ternationaux, ne’ serait-il pas
(lié par la ratification de Sa Ma-
jesté le roi et du parlement an-
| glais?
incontestablement le droit et
qu'il.soit-avantageux de ratifier
le traité, j'ai demandé ce qui
se produirait au Canäda, dans
l'empire, dans le monde entier,
si nous venions-à le rejeter, et | ||
la plus grave. conséquence que
mon très honorables ami nous
a signalée, c'est là possibilité
d'un changement de goyverne-!
ment: = ue em Fe cs —— T
Le très hôon. sir Robert Bor-!
den: Pardon: mon “honorable :_
ami oublie ce que je disais tan-|
tôt: Le fait de. ne pas ratifier
de ‘traité aurait, je l'assure, les!
plus graves Conséquences.
: L'hon. M. Fielding: Lesquel-
es? F
| BUREAU.CHEF. MONTREAL
k - D: Capiil autOrIsd re renssucs L $25,000, is
Le trés hôn. sir Robert Bor- Gapital payé... et cute 16,100, E
den: C'est que le Canada:-ne se- Leur PL N à ubid RES ER RENE AE Ent et ans es Pere
rait-pas partie à un traité de ; Présidént, Sié Hérbert Holt à
paix accepté par l'empire.
L'hon. M. Fielding: Sérions-
nous en guerre ? s |
Le très ho. sir Robert 'Bor-|
den: J'ai déjà dit quelle serait. :
à notre avis, la situation du!
pays en pareil cas. Si l’hono-
rable député est encore de.ceux
ui pensent qu'en dépit des
“dispositions qui ont élé arré:,
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pas ce que j'avais en l'idée. | Le très hon. sir Robert Bor-
Le très ‘hon. sir Robert Bor- den: Sa Majesté le roi et ses
den: Telle serait la conséquen- | conseillers ont reconpu à ce
ce du défaut. de ratifitation | Parlement le droit d'exprimer
Dans ce cas, ce serait à mon sop avis au sujet de ce traité.
honorable ami et à ses collé: ! J'ai pris cet engagement envers
gues qui seraient ministres de !le Parlement et je l'ai fait con-
répondre à la question qu'il! naître au. gouvernement: an-
vient de poser. glais. : Celui-ci s’est rendu
L'hon. M. Fielding: Je ne!compte de la Situation et ne
_songedis pas à cela. Le sort |veut pas s'occuper du traité, en
‘d'un ministère où d’un parti a ant qu’il concerne Île Canada,
bien peu d’impôrtance en com- | sans l'approbation du Parle-
paraison des destinées de la So-|ment canadien. ; :
ciété ‘des nations. Je n'ai pas! L'hon. M. Fieldtng: Le pre-
demandé quel'serait le résultat mier "ministre déposera-t-il les
pour les députés d'un parti ou | documents qui font voir que le
de l’autge.-mais en quoi lés in- gouvernement anglais s'est en’
térêts dif Canada et ceux de | gagé à ne pas ratifier le traité |
l'empire souffriraient” du dé-!$ans le consentement dû parle-
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AUR le champ de bataille, elle fut d’une endur-
S ance nonpareil, ellé fut, et’estencore la dernière
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lés hostilités cessèrent."'—-Extrait{ d'une lettre qu'-
un soldat Anglais stationné en Afrique, écrivit à:
la Compagnie Ford. +, | PE ee mn
Par les chemins défoncés par les obus, à travers les champs submergés,
et comme force‘motrice, n'ayant de supérieur que les chars d'assaut
pour pouvoir passer pardessus les débris, et les trous d’obus, la machi-
ne Ford établit un record mondial extraordinaire: sur les champs de
bataille -de-cette grande Guerrg Les louanges de la voiture Ford
furent chantées en vers et mis en muéique: les-lettres en parlèrent,
les dépêches ainsi que les rapports militaires en firent mention.
En France. -: des 1000 voitures en usage, 700 étaient des Fords
En Italie - des 1000 voitures en usage, 850 étaient des Fords
. En Egypte - des 1000 voitures ‘en ‘Usage; 996 étaient des Fords
En Mésopotamie des 1000 voitures en usage, 999 étaient ‘des Fords :
L'installation de ferce-motrice Ford qui permit d'établir ce record
-niversel sur tous les champs de bataille de la guerre, demeure toujours
Ja même. Vous la trouverez dans la machine Ford que vous acheterez.
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“Hi A Le y Er MR | SEra pas lent à s'en rendre|fumét . : . . 15: Re ts à pie ms à
NC ES = Et TT] compte. Ce qu'il insinue, c'est nrerseet— :. [© ons avee vain à sion lee der è
2 CL RIT TT que la ratification du traité par! —Deis pauvres gueux « quil? Donne lies cr ts >
eo —— — - —- —— Je parlement canadien n'est n'ont pas diné ‘rentrent ‘ darfs|+ reotion 4'experts ÿ ‘.
ment canadien? Comme il a|tut qui a été conféré aux. Domi- | {U'une simple comédie, c'est leur:taudis, mourant de faim et ? : Demander des 2
[fait une déclaration dans. ce gs en ne msg à années, dues mat ce a È - de froid..." "=; x : +. ee - Supérieure :
sens, j'aime à croire qu'il dé-|il sé peut en e que Sa Mlajes- | ARa4da, le”gouvérnement . dul. _. Sapristi, "dit l'un, j'ai [+ : ÉÉ
aps les papiers établissant {té ratifié ce traité au nom du Royaume-Uni : est. revêtu. dè | hair de poule. ésssssssumssssssuse®
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Ü . # 3 LA
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Volci-un gilet qui “pourquoi.on.}e punissait. qu'ils ont une âme, ces enfants? .
é mers de id blus grande ufilité dd pe Je'me souviens de mon trés jeune témps
soirées fraiches. Sole: si à itin, “Paul, prends garde de: M: où, pour se reposer un pet de mes espiègleries..
Li <
+
ge
lvance-done:-maledroit/-- Nà ; } tifiges paraissent honteusement
blé d'employer l'étoffe Je rsey js + Free ne A Tiens. salle était bien humble, l'ampublement n'était ‘applique-t-elle à l'étude des choses surnatu. | | puérils: à qui. flotte dans. lin: ë
po 2 rge, Le Jersey de es ou- ti droit. Vois où tu te mets|rien moins que luxueux, car sÜhté mémoire est relles, mais ne s'appliquerait-elle, pas aussi à! fini Amiel. | €
Tr i Le , » ; » , + + Li
w re - mp . , ph a toi les pieds! Suis-moi donc! etc. . Midèle, il consistait en dé Zongues tables de bois l'élude en général, puisque toutes sciences ne 1 CEE AE | Chaque Paquet
rs ma a rm nr at É fait ele, elc. ibrut et en de sommaires banes à dossier: un. S0nt que des rameaux diy-rñé me arbre porteur: | ne pensée aimable et douce de 10Cd
Jette. cool out tre fi , , ;
e:- Le-coes, peut El pied SEX Comme lout est à éviter et à! spl L bios abs toute. la science du monde. à l'égard des autres finit par | e e _
de différente fagon. L'une se fedouter:-caritise-tes avertis tableau noir, une tribune, haussanñt. ainsi li S'empreindre dans la physiono- L
Re ! $
termine à hr ceinture, Fantre lhenté ifceatle tiéttant Ps pupitre de nôtre institutrice, une chaudière à ‘Quèlle habileté on a dû déployer pour ré- lie et par lui donner nn ca- PA EF} E R x
se 4 AE D rc «AN ep maladresses au. même :niveau|tau,-0ù ceux qui dvaient le coeur bon pouvaient ussir à éliminer de chaque livre à portée de |chet-qui aftire tous les couts. À MOUCH FS
” é sa “y sé ï État 7 Ù |
ES . sm _ gere 8 Ft que lc s' périls véritables, l'en- puiser! à volonté La «: haleur y entrait. plus l'enfant, lé gom de Dieu ‘et toute idée du sur, Lac or daire. RE E : : : Le
»Yenne, ndra_25% Fe
vérges dé matériel de 41 douces | { fant-n'aura plus ja inesure dés. que généreusemeñ en été: en hive r, il arrivait naturel! Et que l'étude dit être ‘aride à: qui Tout ocur- terrdre, dès lors’ ; W l LS 0 N :
Ë + res + , Cocur- tre : ÿ 7 «1 cn
dé fargeur. On peutéobteiirles chOESRe et se lassera de toutg at- IsoiWenE-que les gàarc ons. chargés d'allumer We. ne sait 1 ‘élevit au-dessus de là nature! Com- qu'il se garde pur, reçoit quel- EEE fs QUE
« ‘ ntion sérieuse, k es f ù JE À IRPUR
grandeurs 31 à 44 .de buste. pi On-lui demande tout de prés|PoË le avant notre arrivée, manqguaient à eur bien F "à doit faire plus clair dans:'une intelli -qué chose de la force, de lasü- ps QUEL ATTRAPE-MOUCHE
Sur” À. € nya de 40 sQus'on re: ji tautions: qu'il ehoncera à, enlengagément.,Brrr! quand lt pense! Mais gente qui se sera assuré le secours d'en_haut..sié du Coe ut Divin. ri ——— COLLANT
au. Déparl menl ds. We ER prendre mien \ L a Hiur,, perdait Le crue ifir: nous avions une € combien moins ardirè sera la narration à Rép à : ï i Propre à employer ob par ES
JArIeMe ? k , LÉ Un apôtre est un rétempteur .
. Wést Candy, G49 Ave Me Der: Fernand Nicola" | maitrésse bien catholique religieuse mainte.. faire, ou le problème ‘à.:re ‘soudre, quand ‘on! qu spot SOUVENCZ- en Et PhhtarestepA épiciers et marenätids,
°- mot, w inhidéd. | . "Les enfants mal élevés ‘aura dit: “Mon Dieu; aidez-moi. "C'est-à- dire, bé COS =
mi uupeg: . : / nant, »t entre les mains on nous mettait des | SOuvenez-VOUS que, pour raché:}, sn
mm ——— "mr + —— (ti start 15 Die -} aidez-moi. à : faire. oeuvré qui ‘paille, enlevées! iet une âme: il ne !fant pas = <
res-parlant de Dieu} Jamais nous n'aurions
L'AUTORITE. ET "| Coïnment il faut user des di- 1 es n'auri NS out: voile qui puisse obscurcir mon coeur et}craindre de, souffrir: pour: ele.
«
t D re ou
AVE
-quéi il. MA ai on inflige. inopi-
nément à l'enfant une côrrec-
nés au jeu de balle. Il faut que le sôn répété
tion quele ORTUE AN, soufflet j j 5
dela cloche se fasse entendre pendant quetques
+:
LR jotit s’é Le. + minutes poirr que la: jeurre. insfitutrice par-.
a On app -que lé: ‘pauvret vienne, länt bien que-mal, à les grouper autour
s'est avec. une uiguille,| d'elle dans un ordre relatif. Bientôt. je ne Les’
‘qu'on avait eu l'imprudencé de!
laisser sur un meuble.
“Mais grand'rigaud. il,fai-
vois plus ‘
l'imagination dans les salles très modernés,
lait — dire”: schüpüleusement aérées _ je ne nie pas ça -
Le bambin penser a ans dou-täbsülument hygiéniques. * On a si. grand: soin
4. ‘tt en lur-même, qu'il eût été[de l'étre physique dans ten bcolEs
"préférable de ‘savoir. d'abord de l'âme, on n'a nul souci. -L'äme?
‘+
E Savent-ils:
No A6
ser: ‘ Fais attention, lu vas te co-\mes pare
peuvent en étre l'étoffe désirée, aher Régarde devant toi!.
nts m'avaient- fait goûter, plusieurs
mais il serait peut-être préféra-
mois durant, de lu “petite école” du village La
Le ommeéncé la classe sans_.dire,
'sées, un Veni Sanete Spiritus
Les danses et bals sontchose 6 |
lindifférentes de leur ‘ nature: |
vertissements du monde legs
LA CORRECTION
Inégalité dans la corréction
Les petits’ garçons. n'avaient pas le droit
L'inégalité dans la Torreition "Mais, seloi ‘ordinaire Seurr RMI SRE ‘ à ; 7 liam Dovenant qui vivait au D’ ;
Maintes fois, lé châtiment est! Avec Hiquelle cet exercice qu'ils soient bé n appre tes si prestez qu M: soient la quantité -0 Philiothée, dés impertinen- XV lle siécle. avait perdu son! estomac
proportionné, non. * point. aux 4e (Fee fort pe nché 5% Le in-. [par 7 Iqué üecasion: de la-)leur SCI de ve D sir Peülies récréations sont ordinaire, n€2 à li suite d'un ace ident. Las n| “Des aie we Cu
pe) ! € >»: Qi na )ar|jquelle vous ne Juissiez as > ’ » » £noren | un médec
torts de notre fils, mais à nositlhiné du costé du: mi ER | I bi Il fi et peu ‘souvent, Philothée; car nan dange reuses: elles dissi- -Jjour qu il traversait la ville de Souvent on ant n
disposition personnelles. vonséquent plein de -hanger_etEvousibien-exeuser, 1 faut aller faisadt autrement, vous: -votts tr te dévai il ondrés-à. pied, -une vieille’? : Indigestio0. utand-auéc 1e
Prépécupé d'esprit: ou ner-| P€ ri. On les faïlide nuict, : et pau bal, prenez garde que vostre ‘metiez en dangér dé vous y af-| Pen esprit de dévotion, allan- mendianñte le suivit en lui de- Fi rénale et le traiter,
veux par tempérame nt, on de-! purmi les ténébreux et vicieux! danse soit bien apprestée. Mais fectionner. lguissent les forces, reffoidis-; mandant l'aumiône et ;
vient intolérant jusqu'a d'impar | en un sujet qui de soy-mesme |comiment faut-il qu'elle soit ac-
ja s miBRÈTe nr)
Le dernier entré; je Les suis par
De la santé.
mains er oi-
Les champignons, selon‘P Hi-lsent la char it et réveillent en tant:
LE RS en L @4
rene meurent
Laà-bas tord la forét comme une chépelire :
” Pareil au. bruit: des mers, roulegses de saletss:
L' ‘aütorñne, qui de desc les collines vailées
Fait, sous ‘ses pas profon 5.
saës à là sortie de quatre heures. "Ai ussi n ‘4
âvait-il pas. de. ‘plus grande punition pour: ‘une |
fillette qui avait failli au devoir, que de l'en- {
voyer Le le: “piquet” dans La roisinage des!
_ garçons. À ‘ 4
Oui, jé pense a na petite ét rôle: en suivant
de loin ces enfants qui vont s'asseoir et Com-
mencer celte heure de classe sans soriger même
qu' on puisse demander quelque lumière pour |
bien s'assimiler les diverses sciences: ‘qui -leur |
seront données en pâluré. Je les plains. =
: “C'est moi, dit Notre-Seigneur, qui donne + Ne nous inquiélons pus : de
l'avenir; portons seulement no-
la science aux hommes, el éclaire l'intelligence | tre fardeau: de ch que jour. Ve
dés enfants, plus que l'homme ne tre ponrgt Lacordhire. |
par aucun enseignement.”
Monte, Mélanie oliques: à la vitre termée. 4
: Suse itant. des pensers, d ipmortélte: et FA buis,
La cloche sonne, grave, ai ceeur de la paroisse
Et la lumière, aveé. un long frisson d'angoisse,
Ee oité au fünd, di ciel denir les longues nuits.
: ARBRE" SA MAIS.
6
ee
! PENSEES | CHOISIES ‘[fñez, vous ne pourrez donc ja
mais porter de lunettes;-car el-
les ne $suraient-tenir en équi-
libre: sur Votre: visage!
Le poète ‘rit ‘beaucoup de ce
. Les grandes'ämes me veulent souhait inattendu qui.se réalisa"
rien que le gr: and
Sans doute; cette. sentence de l'Imitalion:
mon esprit,
Li
car sans vous, je. ne puis. rién,
JACQUELINE des ERABI, ES.
Robiaee 1 1919.
HAE RUN DIS ÿ
Un voeu peu ordinaire
Me
Du Catarrhe
: 6 SA EE à ‘célèbre poète añgfais W i-|$ à
en ajou-
ent kde)
» EE
à
Tous Les ar-| d'ailleurs par la suite. .
…, Le vent toürbillonnañt qui rabat lex tits à se aa 4
Des troncs entrechoqués monte un puissant mpimurt
-
Féssaillir notre coënr,
Et voici qi , s'afflige avec phés de ferveur. 14,
: Le Jendre ‘ ésespoir des roses. D
re e bal. des qué pes d'or qui vibrhit sans repos :: .
à !S'est tuile péne gtinee. à la grille rouillée., Ces
res + à * | "La tonnelle grelotlte et: 2/11 terre est mouillée,
_. "a ré écipitation | dre dus Sad dupe ENFANTS. ART 2) de regarder | les petites filles: encore moins. Æt La linge blanc “Pique, perdu. dans: l'énclos.
! n'entend crier..: Ôn en re, : ré l était-il permis de pren.
: ©": Sur le térrain.de l'écolene l ts ‘-üdus. pensez bien, leur Es chant À s :
et wvant même de savoir ,de garcons de Ales — rt ês enfants dre “part | aux. mémies jeux, e} de porter leurs ER HE sourk, comine une face: aimée:
. Qui vous dit longuement adkew quand-ta mort: vient.
Seul le son d'une enclume ou l'aboiemient Œun chien,
de tréq
appel L:
c'est presque toy,
liénce, où sévére jee l'in est qe susce publ sl mal;"on a Va : 2e modestie, de ne, estans Sspongieux et poreux |l'äme mille sortes. de malvai- 1 aites-moi la chhrité,-sir, | - Des -uvlliersde néssannés. souffrent ‘plie
} 4 . » I À Je) n 1 1 » vu ons e lourdeur de angue,
iuâtice: y fait de grandes veilles, apré s ou e et de bonne intention. comme ils sont, atire nt 4yse-l<es affections, c'est pourquoy 4e prierai Dieu -qu il VOUS | fsièine, de brälements déeajomac,
Or tie nt plus comptede l'en. Hésque les on-perd les niatinées! lunge z-en peu et peu souvent, ment toute l'infection qui jeur EE rve là vue. | vomissements, de violentes éructations, de
I F I lisent | :d | N RC DS Se ’ en faut user avec une grande; ‘ ji flenients, d'acidité d'estomac. Is
nui IN on éprouve, que des in- des jours suivantsy €t par con- |< isent les médecins. parlans des est æ'utour, si que estans/ pres LAAEES PIX RE Le poète lui donifia dix sous. lea de lindigention auand
(entions du coupable, iséquent le moyen de servir|champignons, car pour bien ap- des serpents, ils en reçoivent |prudenc&= re { Grand merci, mon noble |" !: Haute de catarrhe: gastrite d'ertomae,
C ependant, un enfant qui, de Dieu ensicelles. En un mot, en —_—— mia .le venin. Les:balz, les danses, S.'TFFäñcois de: Sales. : 'se igneur, dit alors la inendian-!
c'est lousjours folie dé changer |
Le -caiurshe d'estoinat
t d
lélibé ; | et telles Ha mblées tenebreuses te:. Le ciel vous conserve! etlaue les membranes muqueuses < He +
‘propos délibéré, prononce, né 1 we il” lunrièré aux C'est sage que de prévenir lt atti l li nt les ms | | ss ARR EE pat { s'epaissistent. Une couche de phlecmaenge
parole insolente, ‘est mille foisL'e jour : a nu kilnmiére au | à - est sage q 1 Œalturentorc inaireme nt les vices * Ress At | protege votre vue: | les le_sorte que les suce digestils
plus répréhensiblé que - celui! ftenchres, des bonñe. oeuvres al maladie. Beaucoup de cho- el pechés qui regnent ‘en un! Pour qüe les :vers puissent |: Etanné de la répétitionde ce | 45,4t""éabes 1e, Meet eux simon es
qui par mi: il: adresse, brisé “ur! de :s folastreries, Chascun por- ses causent des maux d estomac lieu: les querelles, les envies, les M=VINPE,: il faut qu'il " existe voe u, le -poële: deinanda à cet-hs de dangereuses mipladion: He sang se Qt
+ È « r . "ue 0 et sharrie ve ä ' or
vase préci iCUX. .. jte bal de la vanité à l'envi, et la) et il est.peu«h personnes qui. moqueries.'les folles :amours:|certaines Conditions morbi-ite vie ‘ile. pourquoi elle prenaitfon peut réculiér des dicres masi OR
4 vunitéfest.une si grande dispo’ n'en souffrent pas. Au premier Etcomme ces exercices ouvrent des dans l'estomac elles °in- lun si grand intérêt à ses ve Ux. souvent. lé. preuier-signe d'un-mbriel "papes
Aest neuf lieures du matin ::Sition aux "mauvaises :disposi-| symplôme que l'estomac et le les pores du éors de ceux quiltestinsi tant que ces coridi- Dieu merci! ajouta-t-il, j'y lame, he tcaide contre le est À
‘un aimable baby pi isse gracieu- | [tions et aux amours dangereux foie né remplissent-pus bien les font.aussi ouvrent-ils les po- tions dureront, les vers existe- sois très clair, j'espère n'être pe-ralene Re nee sante
Le ‘ * un Le vitre eau, auSsAI LI
Let blasmyblés, qu'aiséme nt nt leurs fonclisns, avez: -retours Fes du coëêur, au moyen dequoÿ,|ront: Pour chasser les vers et! jamais aveugle, na. brave fe bis "peut boire L'eau -chahde nettoie _les @u-
COLE. $ s'enge ndre és danses. aux Pilules Végétakes de Par- si quelque serpent; sur : cela! délivrer, l'enfant de $es souf-! me. ds aue PA a ne os 2 à
Je.vous:dis des di nses,, ,Philo:| melce, :‘On-Verra que le fonc- vient es uux oreilles quel- ‘frances, H° faut recourir . aux me {jen j'e nds grâce at Sei- Leosités rend pius-eflicace l'action 2 Le.
S, MECULL OUR f | es li-!lionnément des organes ‘d la ïe I P. dre te À vhabde’ 1) plus, le bisurate de ma
thée, comme les médecins .di- jen eo ganes de lt que parole lascive, quelque mu- oudres de liller contre _ les | gheur, car si jamais vous veniez | vira de s antiacide et senhes
sént des potirons et_:ehampi-| digestion"hura tôt Fait de rede-
gnons: les meilleurs n'en valent/ venir normal. Eës pilulés con-
rich, ét je vous dis que les me il-| tiennent des laxatifs et des:-sé-
guettéerie, quelc
que: quelque ‘b:
ter des regards
\° CHARBON
FOSBORNE |
mn! dévoué pour nous at Fort-Pitt,
Cela m'avait. d'abord échappé.
{Mais jé vois clairement mainte-
inant, ét nous serions bien sots,
en vérité, de:ñe pas essayer, à
li premiére occasion, de tirer
fps ti-dé ses bonnes disposi-
tions. :
Miss Clamorgan, qui surveil-!
l
|
lai des yeux, la silhouette.
est inutile qu'il vous apérçoive.
chevaf. Den
fournÿir les
évader, p ht-êt
rue de la Frs No 7.
@ à LES ARPENTS DE NEIGE
femme de
se
d'elle...
Allait-elle te
l'homme av: mça vivement
Main : .
la! son, père avait
Reculez-vous, mon père, il! tière confiance
Rs |
Il né s'étaient ei trompés.|äns se sent pa
E re nry de \'allonges’ éut, à! je vois un homme” qui pas- C'était bien en € Jean Lalmée par un ho
s LI Ne
cet. jontanis avec une acuité pés se, dit-elle, Ronde qui sc sait ainsi aulindifférent, elle
mible, ‘la sénsaliôn de tous les. Et, presque aussitôt, avec M 'crépuscule $oys le couvert desfmunément por
drames. obscurs que iramañent:sourire indéfinissable : £ bouleaux en lançant des coups la situation, soit
les passions et la vié au- -des* Ft je,le reconnais. : à tifs vers la maison où
jd” oeil fur rie, soit par in
Demain, il he nous|métis de se
moyens
à peu près de vous, Elsie. - Une!a issant ainsi il eût obéi à une
sang-froid peut tant idée bien précise, mais &r “pas- | partager
de choses sur un hamme épris sion grandissante
La jgune fille réfléchissait.
de|ce? Sans aucun doute, D'abord,
montrait toujours lai plus en: Anglaise, un 4rouble inconnu et
puis, quand uni
jué cäfôlerie, ou
isilic Vienne je:
Vers. Elles rendront la diges-
tion tormale en détrüisant les
vers, les conditions qui permet-
exc
ja perdre la Vie, comment fe- |
|riez-vous pour vous diriger.
Mais comme
dans On
impudiques, des lous ceux qui |plasent à
mn
jpas celà. Vous n'avez pas dé | our reia
/, é +
soin
le ‘urs
qu'en
charger du
de nous|d'apporter. aux :Caplifs
re... Cela dépend|aliments. Ce’n'est pas
tait un éclairage bizarre sur lés!l'añmée
ens el les choses: el, landis que
Hughes Clamorgan, au fond.dé
la piéée, se mblait fôrt occupé à
u vec ses gompagnons
tion les provisions 4p-
D rtéeR les rbgards ‘du Boïs-
3rûlé, rivés sur la jeune fille,
étaient si, pleins dloquente
hardiesse, que, malgré é son,
sang-froid, l Any aise s'en trou-
vait presque géñnée. Aussi s'enr-
préssä-t:elle de préndre la paro
le pour retrouver Sa complète
assurance . |
ï Je crois vous reconnaitre,
dit-elle de sa Voix douce; n'é-
tes-vous pas Lhomin
- auquel
nous devons la vie, moMpére et
moi? -
crés. par les Indiens.
lui donnait: de déte
de: Vaudace, et il était rempli
de vagues espérances. Le ma-
ntér. l'expérien-|tin où, pouf la première fois, à
Saint-Paul, il s'était trouvé en
elle! face de’ cette blonde et fraiche
dre un service:
4,
el Roi ut:
parlé, en
Et|subit l'avait envahi. Jean Ta
e de vingt Ronde était d'une nature assez
sonnément ui-|affinée pour. ressentir l'amour
mine qui-lui-est tel-que nous, le comprenoôns.
» -eKt assez com- E orsque, quatre jours avant, sur
les bords de la Saskatchewan,
il avait tenu en son pouvoir la
|ieune fille évanouie près de san
ns AVI é i
an ses avis. ter le terrain.
de s'en
tre les
«Pourtant,
comme
iée\à abuser, de
ar coque tte-
qué,
térét. |
#” devra. tentôt av.
ile ettout à fait na
bisnrate le mugnésie n'eft pas laxatf
, LA À
canadienne, un frère
qui ignoré-ce que son père et
sa. soeur sont dévenus, qui les
croit morts, sans doute massa-.
chlorique qui povrra FA."
_:
CHA
Quand.
vous saurez cela, peut-être ne
refuseréz-vous pas. de nous rep.
#
Ici, miss Cramorgan s'arrée
racontant cette
histoire; lavait'été surtout de tà-
Comme un pru-
dent gé néral, eJle voulait, avant
or à fond, reconnal-
orces de Yennemi.
Jean La
Roude semblait un peu interlo-
elle er ignit de s'être en-
RAA © LH ee » ji AS : core trop avancée pour un dé-.
sous du grand dramé héroïque N'est-ce duré tetermier jt savait la, jeune Anglaise én-|° Or, pour l'Angldise pratique père inanimé, il n'avait certes! Un mouvement de tête nffir- but. * À sai erut-elle devoir le
où allait se jouer bientôt l'ex- aveu vivacité. C'est biën ce lui! Ee : ns u'à la sauver dés In- f I | ]
< Lib : à | les d fermée. é qu'était miss Else, de.tels in- mati fut: la seule réponse ve. rassurer.en souriant:
istenee d'un péup e.. + ce nous à. pe 4 mr es € "| £ette grande bâtisse conila “| férêts étaient en jeu qu'elle se diens, fût. -cé au prix de sa vie, | métis. ‘Elsie lé, sentit troublé rte crai d'éd sta: ‘à rit
: VIE ndiers aû Fort-Pitt Mo {nant une douzaine de. prison:|fût considérée comme. coupable Müis: à éette heure, soùs l'in- malgré tout devant elle,.et, dé- Île -je:n'ai +" l'ini ATP ;
Anglaise el: Boisbräts — LR _—. pes ee es trom-lnjers, Ant trois femmes, “leside he pas agir; aucun serupule FanRese un‘sang-ardentet-jeu-fsornrais-stire d'elle-même, eh art je. spy mg uoi que ce soit
Etsje?T ” Ya, rriqa _ esse pus TES! membres du ‘Gouvernement! ne la retenait, du reste: ce jeu, parfdite' possession de ses moy- $ TU Qu
[8 air. u reste
ce n'est pas
première fois que je erois l'ü-|
perce voir de puis que nous som-
: Mon père ? à 2
Approchez déne et regar-
[res indiennes, était située à l'u-}ses veux, qu'un
dez dans là direction: de cel ar-
bre. Ne voyez-vous persoune ? mes prisonniers de EN ‘dans la partie ouest du village, | l'occasion. s'en
Le: jour buissait, el, dans Je $° Et, Ml Pi ; b l'orée! du bois qui descend à | allait ouvrir. la
local où étaient enfermés les convme mis anorgan \a- rivière.
souriait plus. ne tie me nt, il ques- |
tiontrà :
Ni vo vous non plus?
La jeune fille inclina ia tête
e père continua:
‘ prisonniers des métis,lès ton-
tours des objets dévenaient :
cha ue minute plus indis Houts -
Sa NÉ une foninhe qui sÉmiblait:
el, grace
aux! volontaire, elle
captifs teur nourriture, eompo- triompher.
ste: généralement de conserves,
Chaque matin et chaque soir,
! |un_pnétis venait apporter
il
u
provincial et l'agent des afai-| ne homme n “était, en somme, à
Ine des extrémités ‘de Batoche, | gissait de combattre,
avec des. armes très féminines,
ice à son
Elle venait de: communiquer
ens <tHe-centine tr
Jéswis vraiment bie n heu-
reuse de vous revoir: au mi-
lieu de cette dure 6 pré uvé,
Il l'interrompit :
Auriez-vous à vous. plain-
tant de fois dans ses nuits d’'in-
sons jetie séduisanté et blan-
che figure
leur de À
mince,
ennerni qu'il s’a-
Puisque
présentait, elle
lutte contre Hi
conv ainçu.
n'aurez
que vous nous rendrez, :
ne, la passion commandait plus
häut en lui. [avait déjà revu
avc ses veux .£ou-
&iel, son nez régulier ét
‘sa lèvre
supé rieure un
qui puisse effaroucher vos scru-
pules de demi-blane honnète et"
Non, jamais vous :
à raugir des servicés :
Il s’a-
girait de fairé passer une let
» à
tempérament} peu courte" découvrant des|dre de nous en quoi que ce soit, hi A ne res El
entendait bien dénts étincelantes dés , qu'elle! miss? Les rations... sta soft. d :
|souriait, Mémie à peint! Et cela
» Cé n'est pas céld. Assuré-
F exaltait de-sentir cette femmes
ment: Lout est fort inconforta-
Les veux à terre, Jean réfié-…
sommeiller: dans un. ecdin, : le j' * dé pemmican, quelquefois—de | cette décision. à son e lors- |Jà, à deux pas dé lui, dans cette | ble ici, mais lé plus affreux est | chissait ;,
fermier et sa fille était ut se uls:. J'ai rét A APTE MSON. Of, la init Tombait,[que la’ porté s'ouvrit. Sur le|maison de blanches! sen || de vivre séparés de ceux que! 7 Miss, dit-il enfin, votré dé
it Le jeune Anglaise s'avangn rés ave utures, ‘Elsie, et mainte- let J'homme ne pouvait thrder à |seuil parut le métis porteur de!Batoche par un caneours df|l'on aime, de me pouvoir leur! sir de rassurer votre frère.
\ l'étroite fenêtre “d'où nant j'ineline! es >ensér que VOUS Se présenter. ra (la nourriture que ”réelamaient {circonstances qui lui semblaient! faife connaître ce que l'on est! des. plus: légitimes, et, certes, .
ds WIRD: s'échappait au-delà :-de la possédez une fêelle | influence | En ‘attendant, le fermier| déjà instamment quelques affa: vraiment l'oeuvre d'une volon-| devenu, Elle gst terrible. cette | c'est là un de ces services qu
“fence”?,-vérs ladisière d'un bois $4F-68 jeune homme. | poursuivait son idée ; k re du|té supérieure... . :[ehow! : Et, tene#"{lbais que chrétien aimerait .à pendre à
de bouleäux. Dans le sbir tom- .Camme elle rse-t: risait, il re:}. Qui'sait, disait- il,.ee qu'a-| flot qu'il portait, le fermier ai Majntenant qu'il sg trouvait} vous êtes bon, généréux: plein .d'autrés" chrétiens, Mais, ne.
lurit, élle aperçut une sithouct: prit: Se , «—- fvee-hn . peu --d’ babileté--nous!| sx fille recomiurert Jean La! devant elle, it demeurdit immo: d'hymanité.. "Vous: nous 1 avez imémdie) d pas fout : à
te qui ‘se ghissail entre les; . C'est à cause : de vous, évi-| pourrons obtenir dece garçon ?| Ronde. bile. comme pétrifié.. Le falotEprouvé.. Eh bien! duand vous l'heure qu'é votre frère : était
, trones: : Ph 7 | demnfent, qu il s'est montré de: Veau jour, 1: nous à cédé sbn Il-avait êté “facile au jupe, posé” à terre, entre eux, proje- saurez, que 1" un, : frère duns rat art £anadienne? >
FEAt jath a pe { ; TS (éd r ñ as US 08 Fe “ - ’ #14
| à LE * 4 : : dj L 4 LFP ». # ! ee A - nt
ACTUS LIRE Us ? nca ras ct ie À a oise ANNE » : arab astonhe asganstahèane déni irc mio E CR Ca 4
%. AT: 4 , x P x ' A N ñ +3 LÉRRgr ARE. PR .
\ 4
ÿrendre ‘et peut être obtenux
"MEL AN TR né-sont guëres bons.|datifs dans de telles proportions ;oeillades d’ ‘amour, les coeursitent aüx vers d'e xister dispa- |sont affligés de cette infirmité, |7mperte ut pharmacien. je confandez pas
6 > FTR.741. néanmoins, Al faut manger que nulle autre pilule ne sat: *sünt fort uisez à se laisser sai- raitroni et l'enfant n ‘aura plus Hélas! monsieur, ne diteslss: int, citrase, Age gt eee chlaurate nn
2 x ” . £ dl , nr (goudre © vaut! ILZ 2}
; en un Ex potirons? Mrs 2 garde trait les valoir : sir et émpoisonner: à souffrir, sois ce rapport. - re dE arte a Es
i !
« =!
pr ment iseséer ss. ns
ARNO si
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P4
VOIS-1ILÉ IAE
AR Es en a A
_ EVANGILE.
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le-dimanche apres la.
ue " ‘Pentecôte .: ot à :
; EE Love . »" lexpédition en Hacje
ES Matt NÉE 9-46.)
En ec letmpeta, les phafisiens loi if sérvit de pature aux bêtes
Minrent trouver Jésus, ot
d'eau cet décteur dé chie
oi, Juidéimande pour. le tenter
Maitre yuel,ést. des lus grand ifnour urept ous
e Commadrent.dé
sus Hi répondit: Vous aimerez
le Seignçur votre Dieu, dettouikes captivité chez les Perses et
VOTrE coeur ‘de toile votre ame! fat, dit-ons écorché vif. : Nous
et de io voire esprit
le plus grand,et le premier com: |
mandenmentiet voict le sééombl ice persécution fut tué par
qui ui est scmblable
érez votre prochain
A, Joi LE
C'est Ja
Voustat:
comme
deus. conft-
Jé: |
di l'Aquifée, su corps jeté” dans la).
imer et sx tête portée à: Rome
pour Y étre exposée, ARC ONE
L'empereur Dèce {seplicme
persécution) -fut teahi dans une
Gbligé de
lluir, lt tomba dons ui maufhis,
ISAUVagex. 5 s . :
Gatthos et Votisien continué:
trent, la méme persécution. et
dé S choux ussas-
à: à :
sines,
% SR ru MRETAS
L'empercur Valérie mourut
dofhans flus' loin 'des-détails.
L'empereur-Atréfifn (neu-
il voulait astrein-
iscipline trop
ses soldats, 4
jdre % mme «
véré “
:
se
”. Cr es PE Sd À no rer Lu me ee ee
e , an ‘à *
A A me ee A em na ur
ÉPOUSER COCAEEEEETSICES EEE NET
QE AIR | un Li
Lundi ns sd
:"
ricnnes. Il entend'les soldats
qui le maudissent. | Ne
Plus loin, un’ passant l'inter-
pelle, “Qu'est -devénü Néron?
On le cherche pour: Te ‘tuer,
comme il le mérité” * :
Et Néron, l'emporevr, s'en:va:
tout tremblant. : arriv® enfin,
à la Villa de son‘ affranthi,
Mais, pour x, pénétrer, force lui
est de se trainer dans: un, ma-
rais, dans uhe fange inmmonde,
à travers Îles épings elles ro-
"4.5 Là, opera es 2 -
Ses compagnons, pour s'en
débarrasser, Le pressent d'en
finir par le suicide. C'est le seul.
qui l'attend.
moven d'échapper au supplice
Mais le courage lui manque.
LA LI
certe cos sr hs he
CR
ee PE Mr er E - 2 NR e P r e er F8 2
: Il traversé les gardes préto-| éternel de la‘ honte des Ro:
mains. à
:! Son fils, Fempereur Gallien
bien loin d iller à rom-
pre ses fers, en témoignn de la
Joie, tandis.* que * Hart de
prinees étrangers alliés de Sas
r solHctiatent ue »:
Que vaulez-vous, dit-il en. ap-
prenañt.sa mort, mon pèrè était
mortel comme les autres."
d Y 2 ce
# sin: TS “|
-Collègue de Discléfien, il
partages sa huiné contré , le
chrétiéns et le poussa à les:per-
sécuter. H était au comble de
la prospérité lorsque Dieu le
frappa d'une plaie incurable.
4
tôt les entrailles oùil sé formait
\
La gapgrènedui rong’a bien-
e
ep:
Va
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SES RER 9 ee A+
vexations
sept des scDies. SR Ad
es églises . furent dépouil-
lées. Il obligea lés chrétiens à
rebâtir les temples paiens, et
ceui qui refusaient furent sou-
mis à la torture où à la prison
dont ilsne pouvaient sortir qtre
par l’apostasie: 11 y eut sous le
régné ‘de Julien ‘nombre de
«martyrs, * k
L'empereur apostat devait
ourir Comme meurent les per-
sécuteurs. Le fameux Libanius,
confident de Julien, rencon-
trant à Antioche un . ‘chrétien,
lui posa.-cétte question ironi-
que me mer RE
“+ Que fait actuellement:îe.
di L
LAS ARR or CE OT S
EP # manu
Paverrcrsqée tés tin its costs ob i du se
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PLAT AE ERP 8 67 DU RQ EC LODEL LES LI DH E RÉ ER OT ES BE ES À
taie! Juin de
‘pour chrétiens.
Ceux-ci furent exclus des char-
qu’Arius, niant comme ce misé-| Les premiers sont-moris dans ”
rablé la divinité de J-Christ.
. Les apostats -
‘Un apostat, merhinb ss
avait reçu. le aptÿme des
mains des catholiques, fut pro-
osé pour les faire -tournienter,
-rsqu'on vint au dincre Murit-
ta, qui avait été son parrain, et
-qué-l'on commençait à le dé-
Pouiller, celui-ci tira’: tout
coup les vêtements blarics
il aVait-couvert Elpidofore
sortir des fonts.
H les déploya aux veux d
‘
e
apostal, qui siégcait
juge: : :
Voilà 1
comme
‘aulen ruinés’ 1
‘| disparu:
tous les assistants ‘et dit à cet! ° R Prat
tlse, où sont-ils?
es linges qui l'accu- |Ja
PLLSLIREASLSLSES OA
d'affreuses tortures. A Rome,
sur toùs les points de l'univers,
on a élevé sûr leur tombe des :
monuments spléndides. On in: +.
voque aujourd'hui après vingt’
siècles leur:nom. Nul à Rome
n'a oùblié, Cécile, Agnès, Jean
se
‘
4
:
ét Paul, Sébastien et tant d'au: >
tres! . : :
. Quañt aux persécuteurs, leur
CERN
à | nom est exécre, Les riches pa-
‘dont lais qu'ils se sont construits sont
-cur Splendeur a
Après leur mort ignominieu:
Dapñs l'autre: vie, quelle ‘est
gloiré des martyrs? Dans
“
11
fils du charpentier ? : ;
.C'étäit ainsi que Julien et ses
familiers désignaient habituel-
Jement notre divin Sauveur.
des vérs. DRE
+: Une odeùr ,insüpportable se
répandit non seulement dans le
mandements renferment out
Ja ot et les Prophètes. Con
les puise
Jésus leur
Fa : Néron saisit deux poignards. Il
Dioctétien mourut apres ftre tremble. H les remet au four-
descendu du trône, revenu à Jxlrea “L'heure fitale n'est-pas
«culture de son jardin de Saone, f'éncore venue’, ditsil
on quand” Le grand juge | l'autre Vie, quel est le sort. des
viendra, et quite précipitérant | persécuteurs ?". . . °
dans l'abime de soufre, Ces Hh-! ;
es dant tu étais enveloppé dhi |
+ fre
En réalité, les persécuteurs |
ns ebucnt réunis la
cette
sen Hour
question
ment don
Dénnis dst ot
pied? Si td
son
son. fils ?
Jui répondr
ë px DETCIELTEE
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Q
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Christ? de‘qui est-il fils 2
David, fépondirent-is
ajouth-teit,
qui chat inspiré,
son, Scigncur, lorsqu'il.dit; Le |
. Seigneur ù dit à mon Séigneur
Assevez2vous à ma droits
qu'a ce que: je réduisé vos en!
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fit. à
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Soigweur, comment
Aucun d'eux
cet dé puis ci
D'osa plus:
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sn DA MORT DER
Fu nus: PERSECUTEURS |
Une énumération éloquente
du
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(. O1)
David,
F l'a pyu le. t-il
HSsCOZ-VOLS
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aid l'appelle |
est-il
née puit
jour
l'interro-
"laiton Süéconipagnant SÜL.
Len Dalmatie
J. Eempereur Maxumienrollé:
[gue dde Dioclétien eut le choix
{du supplice, il choisit la corde
| Galére’ iMmourut, /comme. M
tioghus, ronge pur les vérs
| ir rase N'éTON
Néron.‘qui déchaina : contre
les chrétiens Hapre HYICECTPEESC-
Leubion générale, fat nm vrai
Lmonstr net ‘
L Entre autres criminelles en-
itreprises, il fit mettre ‘le feu: à
(| de Rome, doi
| Fa vil
pPotrr.-s4
JTCUE, QUE SA FÉLOV AR pote Em
lvré ‘lai ruine-de Troie, ; 6
“IF jefa l'adfeux' de, son crimé
4: se lamente, et parfois se re-
1:
[ner le: plaisir dé la voir brie
é ï Ë " : {Deboul.sué une tour, ,; Fempe
ee ag ce 0 DE De 1— :
k lat dhérreur les {émoins de -cette
| proche sa licheté. $
“Quelle honte pour moi, di-
sait-il. [Laine faut du courage!
Allons, réveille-toi, Néron.”
On éntend un galop de cava-,
hers, envoyés à sa. poursuite.
{ Néron voulait s'enfoncer te fer
dans-la gorge, mais sa main
tremblait./. Epaphrodite, son
secrétaire, dut luideér dans ce
lache suicidé. :
\. 1 respirait encore quana- le
{centurion qui venuit le saisir
lpénétra dans l'appartement.
Mais justice était faite. Néron'
expira. Les veux lui sortaient
tle-httete cette frites 4
épouvantable scène. (Suétône.)
-Néron a disparu,-ne Hissant
däns Fhistoire que le souvenir
palais,mæis dans toute la ville
de: Sardique. Ses douleurs in-
tolérables lui faisaient pousser
des_cris horribles. | On appli-
‘quait sur-$a Chair des viandes
vüites pour attirer Les vers, ët,
en cl en sortait une quan-
tité prodigieuse:
I fit mourir plusieurs méde-
cins qui ne pouväient apporter
de remède à son mal ni en sup-
porter la mauvaise odeur.
Un d'eux se voyant près -de
subir.sa fureur eut
de lui dire: :
.“Vous vous. trompez; sei-
gneur, si vous croyez que les
honimes puissent vous ôter le
te maladie n'est pas, hümainé
ni sujetle à mes remèdes. Sou-
venez-Vous de te que vous avez
le courage
mal que Dieu vous envoie, Cet
Il fabrique en ce moment
un cercueil pour ton maître, Fe.
pondit le chrétien.
- Sa parole allait se réaliser,
Dans une expédition contre
les’ Perses, Julien fut. surpris
par l’ennerhi.
chés l'assaillit lui ét sa garde.
L'une d'elles, -effleurant Je bras
droit de l’empereur, “vint--ui
percer le foie.
A ce moment, Julien porta la
main à sa blessure, recueillit le
sang qui s'éc
le lançant vers le Ciel, 1 s'écria :
“Tu as vaincu, Galiléén !”
jours de ceux qui le
tent et le proscrivent, . ,
+
Une grêle de flè--
happait à flots et, |
Be tiéen-triomphe tous
_persécu-1"
redoubleront + ton *supplice
flammies éternelles...
A ces moîls, loue la ville fon-
dit. en ‘larmes et en ri Elpi-
dofôre resta muet de honte.
Combien de persécuteurs au-
jourd'hui rougiraient si on leur
résentail le brassard de leur
remière Communion, en_leur
rappelant ,léurs "promesses
d'autrefois! DAT
Qui furent vaincus?
Ce hé furent pas les martyrs.
Ce furent les persécuteurs
sortant des fonts du baprme |,
-une }
ont été vaincus. : Il y. a au cie]
justice."
quand tu.seras enseveli dans 16e amont manie mamemmentes
Ï AVIS'est donné:par le présofit que
la°Cie THE NORTH EMPIRE FIRE
INSURANCE COMPANY _'s'adressera
[au parlement du (‘anada à sa prochai.
ne session afin, d'obténir un bill pour
légaliser et: confirmer une ämissior
d'une partie dés ‘parts et actions do
son Cäpital déjà #mises et donriéts en :
échange pour: d'aûtres parts de la Cie
.FHE CANADA WEST, dIRE INSU:
RANCE COMPANY LIMITED, et afin
d'obtenir une proclamation que la.dite
Cie THE NORTH EMPIRE FIRE IN-
SURANCE COMPANY s'est conforniée
aux dispositions dé la-section 10, Cha
pitre, 136 des Statuts de 1908 ét pour
obtenis-une extension des pouvoirs
EMPIRE FIRE. INSURANCE COM:
PANY par ‘lesquels la dite Cie''aura.
le pouvoir de faire des contrats con-
cernant l'Assurance contre les. Explo-.
sur Jes chrétiens et les persé-f di fait contre les serviteurs defde Julien, raconte” Théodoret, | QUE ja Oniie ln Bis de Vitine “es
4 ; leutaravec fureur! IE fit marty- d'un monstre. A DT {Dieu et contre la sainte religion ! saint Sahase solitaire eut une TRRRES FEDERALER, Îles Automobiles, le. Vol, le Vol avec. À 0
NCTON, CINpErEUr FOI, SE riser saint Pierre et saint Paul. Ft AUS vingt siécles: dans et vous verrez où vous devez| vision. LE j‘ Auæmentltion du taux d'intérêt. Effraçtion, les Boullloires à Vapeur, : . : |
“na PE 0 la premiere p On lesvit faire attacher dans TRE Ven hit D Pot avoir recours. Je puis mourir! “Le loup crüel-qui-dévastait |,.A% En dohtopolile 2te0 leur DD UIS Det OÙ Poe Die LiC DE a Los
sécution, [se transperca Tui-fés allées de $es jardins fes mar: JEURAIU ICS MATIYrS, S CCVE conime les autres, mais les mé-[la vigne du Seigneur vient -de sions d'un acte pour. amender la loi privilèges accessoires ou, nécegsairés d
méme di Son cpée-pérr chape tvrs dont le-corps' était chduit. ais de ble abrité la decins ne vous guériront pas.” [tomber sous la vengeance divi- CUVE SalRIN #1 Dpt du? HE pour les fins_sus-dites où: l'un" quel: HE
per aux süldats qui le pétrstui- | qe pois et ide PÉaIne," De oc OMR GE, PAR PAÉPRES Galère, pressé par la douleur, ñe. IL est mort, la persécution taux de te interet eur se ir Ponablé;çle | conque d'icglies, Misious Le
vient les faisait brûler, et lui, trai- [°° Etantour®de cetté tombe glo-| publia bientôt un édit d’amnis: est terminée.” transactions en rappori-fvéc l'Acte des * “ A PT. k
* 7e ii à DS 4 à .i Le : Alros mic: 16 ° { FYY RE La: ; \« tn Terres Fédéfalés era de 6 pc. par DATE à Winnipeg ce 13e jour do ,
L'empereur Domition deux lé sur son char, se promenait à {rieuserou liten lettres gigantes-ltie en faveur des chrétiens, Mais an | Fee année; ainsi que au Lot septmbre, 1419°| septembre A. D. 1919
; iéme persécution) Put asassiné {Ta lueur de cestorches Vivantes.d ques la prophétie de” Jésus- c'était trop tard. L'édit du nou-|' Fe Hunéric : : le taux sur tous paiements partiels] ‘ ptet EE à
dans.son. palais. .. | Dieu se réservrit de punir-te| Christ: “Les portes de l'enfer! vel Antiothus respire encore 1e Hunérié, roi dés Vandales. tranisetibnn ne Rnaue et Rene SUR . : ADAMSON et LINDSAY, : , Î è
, Rpit L'emnper: ur Tran (trotisii- monstre -bes-Gaules:se révpk ne prévaudront pas: contre, l'E-| faste. et loypieil “On dirait, fut un des'plus férobes er pr augmenté à 7 p.c. par es ; 806 Bee Pa 2 ee Re au | nee
ES = Pye perséeution) mourut sübi<! (érent, soulevées par _l'éscldve l'glise. k remarque rhacher, Satan teurs de le reli fon parc ar 10 * #° PERFIRA, | ‘ oc rrus RATÉ |
tement | Vindex. Li révolte gagna jus- ; Valérien . forcé par la douleur .de ployer de 8 A 0" fatintatare de d'inçémeur tre l'McOiverin, Heydon et Ebbs, |
Adrien _{güatrième -perséen: qu'à tome, et Néron © se. vit PT TRUE RE 777.. [le genou au nom du Christ.” On vit longtemps à Carthage be L'ILE CAN RC RE RS MT
tion) profanh les Lieux Sais abandonné de toûs, trêmme par: Valérien, auteur de la huitiè- Galère mourut peu après, les marques des cruautés CRE Be PAPER 2 k.
\ ét-éhercha à faire disparaitre |jà garde prétorietine [ie persécution, fut fait prison- rongé par la corruption et les|CÉes par ses ordres. Parmi les
Je Calvaire én ÿ':élévant un! Un matin: il. s'évoilla seut{nier dans une expédition. con- vers. 4 catholiques, les uns étaient sans - :
Me temple paien. Imourtit d'hv- {ans son palais. Happela, per- {tre lés.Perses. . Julien l’Apostat mains et sans pieds, | d’autres AU Lib Nr de sad ;
.. dropisie, dans d'ftrotes :souf-léonne me ni répond. Presque Sapor, son Vainqueur, Se plut Rs sans yeux, sans nez.°et, sans ‘L economie et ] efficacite
frances tous ses serviteurs l'avaient “lonner ef dise Es e Pos AE io fut CE éfion CR a : Aa ren : ; ,
L'empercur:Marc-Aurèle (cin-fipbandornné À ÆPETPTe la déchéance de cet em-] mi acharné du nom chré ien, | V ete suspendus, avaient les és S : ] ill £
, “Aène bersécuthion): moutut Prog qu'on venait pouf ler ais avait fait trembler dons pus al qu'il cpaaies APR ANT ATtASnUS uppriment le gaspi age :
empoisonné h s'emparer de lui et lui.infliger [te monde. avait été élevé dans les princi-[au des :malons, La ser: pa nr tra . ñ
Maximin de Thrace (sixiéme les Dit cruëls supplices,. | Chargé de fers, Valérien fut pes chrétiens. 1 ieni ainsi de jouet aux barba- ; Soyez economes, ‘Obtenez plus . "sut et du
: persécution) SéVit contre fes PET 2 l'trainé de vilie en, ville; Ouand Esprit eurieux el superticiel, res: Eten + meilleur pan en usant e la. ga
Î évèques et les prêtres, ff :mar-!: On lui conseille: pour échapzlSapor voulait mofiter à chevalet d'une prodigieuse vanité, il! : La mort d Hunéric est la plus pa terex
yriser le papésaint Pontien, Flper aux tortures, de’ se _jcter lon faménait l'empereur chargé !se prit d'un beau zèle pour le|épouvantable que l'on ait ja-l FARINE PURITY =
f. fut müssuieré ave. s04 7 fs--tldans le Tibre: il.n'èn 4 pas ‘le! de fers, et l'infortuné courbait pape SA D FRERES: ne Le sur Re: - -
pe ENE La: _ — tcourag : - . [les épaules et servait de, mar- {rétablir les autels des idoles. Saint Victor d'Utique dit que s
à TRE ir 55 Le Phaom. un de ses affranchts, |chepied. * chercha surtout à tuer Je chris-|les vers le rongèrent Arret TYPE GOUVERNEMENTAL
| URINE: Peur. bec Faute li ‘ofre Line retraité dans Sal Suivant quelques-uns, on Fé- tianisme par la'séduction el le sumérent tout vivant. : Empiovez.la dans toutes vos
IN Granulées io lihson, pres dé la voie Salaria.{corcha vif. Aprés sa mort, sui-| ridicule. ‘ SL Ne D'après saint Grégoire , de mpioyez- 4 At
FA ete Vent Marine ol etes | NéTON S'échappe-par upe porte !vant les autres, on..sala :son Ne pouvant -resaurir au ‘Tours, il entra: en : fureur et F pâtisseries "ee
: ; LES YEUX oui ere re GT O GET u-picds, avant sur iés |COFPS,- 6 COFrOYa sa pealr pour | meurtre sous peine de dépêu- mangea ses, propres membres. Permic. pour farines: Nos 15, 16, 17,18
= PS RESORT M épaules uirmantétru de couleur; garder, on lateignit, en roùs<| pler l'empire, tant €lait:grande D'après saint Isidore-de Sé- 4: ’
en vente chez les Dyvguutes en Cana sombre et un mouchoir sur-le fge et on la suspendit dans un|lamültitéde chrétienne it fit Ville, les entrailles ui sortirent |
pl AB Éd var er à VIStg 3 Hemple comme un monsiment prendre un grand nombre de corps, et il eut da même fiñ
gs = ds sa i£ Sn sspoisé : à = ail A - do qq tem it gsm tmmmeiiene + ss : à
ïe 2 mm _————— as ——— a = *)
es % j at à : He Er / ee ef ne sa ; rs :
On. Beutenant af 90e but Un flot, de:sang lui: monta-äld'un si soudain déchainement -— Pourquoi? Est-ce que vous| moyen de plus pratique à em:1 gis, l'esprit enfiévré des projets dans la nuit tombante: la sil- )
taillon de carabiniers,. un face: 7; | de passion: n'avez pas confiance en moi?|ployer pôur s'acquitter de salles plus divers, le jeune Bois- houette gracicuse de. Rosalie |
à Mais lors... comment vou-| Et Si je le tentais Ps'éeria-! : Laissez-moi, gronda-t-elle | Rien ne me’ serait plus pénible. mission. 0 mr l'Brülé:ne prenait pas gurde| Guérin, in d |
dez-vous [El sur-ün ton de défi Fine voix couverte, mais, fer-| — Oh! non, certes! Après çe| En mêine temps que.la ieitre,|qu'une femme ‘ou plutôt une] C'était bien Rosalie Guüérin, 1
2 C'est vrai, fit miss : Elsici® La jeune Anglaise haussa les lime, Ne me touchéz: pas!. Nefque vous:avez déjà fait pour liniss Elsie, qui songeait à tout, jeune fille, attentive à ses moin- {en effet, qui le suivait;cette Ro- r|
avec una feinlfionfusion, Par:epautes “voyez-vous dénc.pas ceux qui!nous... +: [lui avait glissé un billet conte- -dres mouvements, le suivait àfsalie pour qui l'ainé. des La |:
donnez-mbi mou: élourderie.i Vous ñe le fertz pas! Vous/sont derrière nous”? Quesvont-|" {Elle parut brusquement se{nant Je signalement précis du quelque distance. Elle portait Ronde éprduvuit un'vif sehti- |
. dans mon. désire de assurer sentez trob bien votis-méême quclils penser d'une parcillescène *ldécider et njouta'très vite: jeunc officier. Malgré tout, ce | sur sa hanche un paquet de lin-{ ment si fortuitement découvert A
mon frère, jéfn'avais pas réféleEcruil'une folié #1" Plus’encore que cette justel * => Eh bien! c'est entendu: ! n'était déjà pas chosé si facile | ge qu'elle"venait sans doute.de {par le guide Joseph Lacroix... |
/ chi. calcule les agnséquegees: Pardounc/Zemo.miss, réslremarque., 16 ton: froid sûr le-Tvoué aurez la Jettre. Faites en! de découvrir dans une colonne aver à la rivière, car elle a ditlEt cette jeune fille de dix-sept
es .Mais-merlhtenunt que vous ét «| pliqua-t-il d'un ton Sec. Mais!quel elle était faite calma le!sorte de revenir demain nous|de mille hommes un lieutenant | débouché du pétit bois une mi-[ans, qui était descendue une:
devant ,moi,’j Suis presque CE lie me décid: Je partirai dés! métis. Il aperçut, en effet, au! apporter les provisions.’ | Elle | de carabiniers “grand, mince et nute à peine apres les démons-| heure auparavant à la rivière,
frayee de Le que Tai ose vous demain. fond de lu salle, dans la pénéom-{sera prête. Maintenant, retirez- blond..." Mais bah! l'important {trations réciproques de Jean La }des chansons aux lèvres, rega-
demander... Jesvois tellement Jé vous le défends! P'aitlbre, les captifs qui: intrigués,| vous... et surtout soyez calme etlétait de trouver ‘d'abord le gr- ndé et de miss Clamorgan. gnait .mäintenant son logis,
que c'est-imipossibles. Tes dani:fleurs, vous n'aurez pus ma let-[les regardaient. Le farmer, les| prudent. ‘ pete [texte pour quitter Batochen 1] Ænr-mvait-elle été témoin, 4r-[mordue au coeur par -la jalau- .
..., fers: Votre vie." | Ur ; Ru sourcils froncés, semblait inê-| *AVTIT [verrait bien après... —— rêlée et dissimulée sous le cou-fsie…. ., En SRE
= Le Bois-Brülé se rodressx: | Je, n'aipas besoin de vatre me prêt à intervenir. ‘Une imprudence - Interrogés par Jui, les éclai-| vert? C'était probable, à ef Depuis longtemps, elle avait
| Mu ni Non, miss Ge Féttré. 1 me.-dultlit de savoir! “Jean La Ronde, gêné, se re- Le lendemaip, Jean La Roôn-Îreurs cris et stonies lui appri- juger du moins par l'expression remarqué Jean La Roñde: Bien
à West pas, pour ma Vie que. Jelve que j'ai dire, . dressh, et, laissant aller la mainlde fut sur pied dès ka première [rent que la colonne anglaise ve- à la fois dépitéé gt railleuse quil des fois elle l'avait rencontré
crains sent À La jeunefille le regardirfixe- [della jeune fille avec un soupir:!heure. Le souvenir-de la‘scè-lnait d'arriver au gué de Clark’s couvrait ses traits; tandis qu’el-| dans.ces bals que les métis,
Pourquoi donc alors ? ment Fe ee Pardonnez-moi, murmu-lne de la veille ait fort trou-| Crossing, à trente-trois milles Île considérait lé Bois-PBrûlé qui, | grands amateurs de musique et
Pourquoi? Mais-ne sentez Non... c'est üne plétinsañto-|ra-t-il, j'étais fou. |blé son sommeil, ét il attendaitlau sud de Batoche: el que les!sans se douter de rien, mar-|de danse, organisent sous le
vous pas comen une -pareille rie, n'est-ce pis? Vous n'irézl Ellele sentait si faible à pré-lavec fièvre lé môment de re-|dispositions prises - permet. |chait à dix pas devant elle. moindre prétexte, et, à ghacu-
tentafhive rait :, dangereuseT pas. e sérait trop Tou! M tecnt si désarmé -devant elle, | voir miss Elsie. .. |taient de croise qu'elle allait}. C'était une belle fille de dix-|ne de ces fêtes, il s'était inontré
pour moi en risquaht de; me Gritmiont Fadris GiE de re=j'qu'elle:le devinä entièrement à} * Ce moment vint enfin.-et, dès {s'arrêter là quelques jours. fl} sept ans tout au plus, grande.et pour elle un si galant, uñ° si
compromefttfe aux VEUX de ME Emords.. de peine. S'il vous ar-[sa merci Ke qu'il fut.en possession des ra-|caléula qu'il lui faudrait cinq bien formée, un peu pâle com-fcharmant. cavalier! - Et voilà -
5 compatriotes? riväit malheur à Pa Un moment.elle deméuta les! tions, il s’achemina, le -eoeurtheures au plus sur sa bonne ju-! mé beaucoup de: femmes mé-|qu'ilétait tomklié amoureux d'u- w
Bab!vous êtes ‘adroit et le "C4 te fois. Jean La Ronde |véux baissés, réfléchissant... battant, vers la maison des pri-| ment pour - alleindre Clark's}tissés, mais d'une pâleur rele- ne Anglaise, d'une fille d’ “hé.
VOUS (POUVEZ BIEN UN MEVCPT Sent joyl sôn sang lui reflucr |”. Tout de suite:elle-écarta li. l'sonniets: [l'y pénétrait à peine | Crossing, et sé décida à atten-| vée par l'édat de ses yeux noirs |rétiqueé”! -. -
A d'éviter Tout énnut deco côte l'un coeur. Que signilnient: ces Ldée d'évasiqi .comme imprati-| que la jeune fille s'avança vers {dre la nuit: MAÉ Jet le brillant de sa chevelure! Rien qu'à penser à celà, elle
si vous Youhez.. Maison, re Enaroles,-ces-paroles troublan:|cable- et dangeretise : à . tous|lui:; là veille:même, elle avait ‘ Vérs le crépuscule, ‘l sé ren-| sombre. soigneusement séparée len frissonnait d'indignation et :
ET prit-ellé vivement, c'est. votr. Lies prononcées Sur un ton plus !'égards. Assurément, le mieux, ! instruit : sés compagnoné ‘ de4 dit, comme la ‘veille, à la mai-|au milieu de la tête en” deux]de. dépit, Etait-il possible 4,
vié que Yous exposeriez, Qu 0 Etrogiblaänt encore? pour Finsfant, étaif de tenter de! captivité de son dessein, en sor-|son des prisonniers, et il sou. longues: : tresses: "tombantes. [qu'un Bois-Brülé s'oubliât à ce
moins vgtre Dberté; car il voir T Et, subitement, : un: étrange commüiniquer avet-Hr-éolonne | te. que le. métis-put s'entretenir mit son plan à la jeune Antglai-| Comme elle marchait assez vi-| pot! : .
SL faudrait. user ‘dé. stratagèéme vertige s'émpüra ‘de’ son être... Middleton.. Cela fait, on-ver-!ayéc'ellé sans que personne pa-|se, qui en parvt fort-satisfaite. | te, elle ne tarda pas à rattrager ‘ Comme elle allait À grands- te
pour peneétrer dun$le camp va [Ses doigts nerveux encerelérent]rait bien quet parti Üirer de cet|rût y prendre garde; toutefois, | Du seuil, il l'entrevit à l'inté- | lé jeune homme, et celui-ci, S'a-[ pas dans le soir, dyec ce äpre
\, ,Dadien.. (Et je n'ai pas fi droitfle mince poighéf de la _jeurie | avantage... …. |feignant d'user de précautions, | rieur qui li souriait-e#core, tt Lpercevant qu'une femme le sui-let tumultueüx boufllonnement
"de: vor demander: de par TMMe.-ùt. d'une Voix Haletante : La voix presque contrite du! elle ne lui permit pas de troplil en éprouva la sensation d'une | vait, prit rapidement de l'avan-|de jalousie au fond d'elle, elle : ‘
| sacrifices ; * : Miss, voulez-vous fuir? Jef métis ta tira de:ses réflexions. |s'aftardèr et, la lettre une fois |caresse au coeur... a re ce; pour ne.pas déroger à l'usa-|entendit une voix qui lui disait :. L
Hsémblait a dean-quethacue vous en dofnerai les mayens. ‘- Vous ne'ditéS-rien, miss! | remise, il dut, après une con- Après quelques signes rapi-|ge des métis : canadiens quil —. Bonsoir, RôsalieT
.deces mots fit une flèche qu'el {no ÿNiirens “2.1 + AWous aurais-je blessée? Mal de:quelques minutes, | des d'intelligence, il s'éloigna!n’admet pas qu'un homme sel Pierre La:Ronde était devant :
lé lui. plantait en plein coeur: EF Ts'était penché vers elles: Ki. — Non, répondit-elle, J'hési-lse retirer: ; se avec la résolution plus ferme!laisse dépasser par.une peëfon-|elle. SR Cr at *
=. , ‘Qu'ést-ceque cela voulaif dire?! à" la lueur, dufalot! ses veux|te seulément à vous démander! - Lh joüfnée s'écoula pour le|que jamais de. risquer pour delne de l’autresexe. = Vous venez. d' “ai De:
5 Est-ce qu'elle mettait son dé! braliient d'un éclat. singulier. {le service que: Vous savez. : jeune, métis dans/ la préoccu-{tels sourires sa liberté. et sa! Toutefois, ;au--mement--de! qu linge, ‘à ce-qué je vois
$ .vouement et, bien: pis encore, Miss Elsie.-un-pêu-pûle:se-rejes | = Pour htettre? RLLCLE un prétexte plausible! vie... RELORT Tfranchir le seuil de son-logis, il — Oui, répondit-elle, .- à
son rourage en doute? la en arrière, presque effrayéé Oui: ‘" ME pour quitter, Batoche, ‘et du] Tandis qu'il regagnait, le lertes détourna et crut reconnaître (A suivre), à K
: $ ne Riu “ , : n ( LL ù h \ ÿ AA he j PT rentes rss
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5 + x LE D rm k \ PRE ' pas "s : X 4 4 qu Ft rh. je 50 pr ÿ Ÿ per: w À ï [ € en | # de s n vez { ki D ae “a ;
M +, F LE { Le * FA «. : NS, Je, s h : + ï
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he d'heures me seiai-| Cette’ formule contiendra aus- |
si les clauses où règlements.
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AUREAU: 238 EDIFIcE CURRY.
{En face Cu Bureau do Poste)
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.. La es à clergé
ou!
de la rale, et celui ou celle ‘4
ë 3 qui, detre nur d Lao nous et "ES WINNIPES. por .
1% Pari: les ré Jéndérs toi ca: îtres wvent dans un Sénusdsiail Ville + n°. | qui veut fFravailler ncèrement pr s suth ve À
—tholiqués qui sont indiquées ! que là guerre aiencore aggravé! série Le ! nine Den Rs ere Ê Fa à ; SE AE À
— Mans 14 fettre collective de l'é. Fu -neeS: d'entre eux. r médé- à bien ce tra- Meliter: er répétit Eng pe ‘e pe ce + Sur Cri NES
, Piwopat frñbçais, it en est qui! . “{] y a quelques jours, dans, . . L
régulièrement que possible à
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Li uront pas.voulu m
5 7 se presenlent avec un c
À une réunion épiscopal
tout particulier d'exiréme ur EoLe:
Péchenagd, éy éque ni
Soissons, obéir au 4 enr vd et à ne pas
. Garanti
laisser la: Chorale sans. ‘avoir | : -
æence: Les ajourner serait por- déclarait, les Jarines aux yeux donné un se 4 rai amable | hs
he tér atteinte gravernent aux for- qu'il ne pou ait, pour l'année ‘Des formules stront mises ji : , sc e au | 4
4 ces vilaies du catholicisme. En |:ourante, dans son diocèse. af- à la Jisposition des membres # |‘ recteur. | ‘ “]l est ie 4 tettorees : ami.
Æ # les présentant devant APPINIOR freusefnent rayagé par l'erne- ; 1 on mg mn du 5 5 tm Pro à Les :me mbres de da Lordhe ‘Travail d’ expert dans la IL scvordongestir tes fonds placés 4
..pub'ique aujourd'hui, ke A de “li. assurer à ses prêtres. que — he ner une for- | ant vu avec satisfaction Mme paration ‘et l’exa ID dans notre Soctété pour ung pé°
ie : main devant.le Torps électoral. 350 francs an; méme pas 1 mt €: : Nous s savoir im! Dugat au, piano, diinanche des Ford ll: riode de trois À ‘cinq ans
“ini s'agit pas seulémént de re. frane par jour. Dans la "# médiatement ayec qui nous dernier... Ses connaissances en . men des Fo L 1
Le à LCR mjustices,. du passé Lee , l'évéque ne’ yeut ‘garantir pouvons compter, Nous préfé: musique la désignaient.. à ce, Garage: En Li Rerivel. tétéphonei où venag:
| en était ainsis on pourrait | sux membres de son clergé rerons mitive -Savoir hu à Ina- | poste. |: 58 Av. PROVENCHER 1 nous voir. LR À
EL" me objecter que si Finjusticé que 450 franesspar an. C'es nièce PORRve Ceux ou ce ze qui La Prochaine répétition gé- -ST-BONIFACE. || F4 .
à charge en aa la. conscie née} à peine’s'il y a quinze Aigcèses - —— horale dimanche le 5 octobre. Satisfaction assurée. | ." jet AP Di
+ quiconque l'a «commise, - sa! qui- peuxe nt assurèr à leurs pré- . ous présents sans, faute. ER ee qu | The. Trustee Co ik
“victime peut la supporter ét at:|ires les 900 fräncs par: an qui ‘Dodds ‘Medicine se Ltd, }E- : Henri Bonrgeault: .Si vous avez du trouble avec : ee
tendri avec résignation fheurC{leur étäient verdés. annuelle -| Toronto, Ont. SRE PAMRUNS, RRRRISE APR | E : ne à | :
des réparations. Celles: aux- megt soûis te “Conc ordat. 1 ou après:six hèures Main |] of Winnipeg
ne ‘ . ‘ 4
: quelles nous pensons ont une à : 2 : REP “LL Pr be: 7
= tout afître inporlance. Elles se sr te ne a l'extrême pauvreté Fe “cler- fr Pirotton SE. Contant ment à + rive ET | ee EDIFICE | NANTON.
E ll € D » , {
pren mt chaque jour devan-!fanes bar an’ gé due à la cherté de la vie, et | Nous faisons -aussi le trans: |!
täge fa vie: matérielle ci mora- É De . dis chiffres tort. cl en faisant aux fidèles un devoir |[* € 188-141 pusuc port de‘malles et marchandises. JE. _“réi, Main ETS
le de l'Eglise, rendent son mi. L pen eg ne ont € on [de conscience d'y remédier, il a |. Nofwood, Man. Essayez-nous. | : —
nistérede-el Vus difficite, | PTE udre ces lignés douloure üses | jouté : |
stere de plus enplus difficite. [is it. Mèr: Marbe Ré Lt + RS l = Tél. Rés Main 350: à
et pésent d'un porfds Sintole rable IN ECrIV A 8 AE S “Tout le monde sait que éhez RAT { PSE RL : PIE si 70
sur son avenir Ù que de Meaux, dans sa lettre les Hébréux le Seigneur pour. ss EE . dé do Fe
k pastorale pour le Carème de ' 8 ] pe D “LE RE PAR EXCEL- se
2 lLest des que stions qui sont 1919: ; . F " vut directement par sa Toi à, la : n
vit li s: l, Le. gti k: ta satour : ; subsisténcé sp $ lévites:: ils de- LENCE”. : , Munutacturier de mo poretérecit
à ne pie Cest s'e \POUPr à à une pue “Nous avons su à diverses! Gent ‘ävoir de & { uoi vivre ho-[| NECTAR—ViIn mousseux. ‘Le ane Papin |
dence irrénrédfäble, c'est sc di père En use men norablement. de leur. ministère]: champagne apprécié” *° autre pierre, ex voté
d 2 » , s à à pierre d'autel, red
laisser aller à un courant qu'i "Betrgenr PycË À ë 1 et n'être pas obligés à une au NECTAR—Vi#! Rouge. et_Blanc. Pr ee
sera dé plus en plüs difficile et d. , Eh ar a ri enpaparT “lire sorte de travail, mais Con-[| NECTAR-viIn Gingembre. toyage dé monument
peut-étie, un jour, impossibl nr rar ani Éd) hd sacrés eéremenl au peoie NECTAR=—Vim Tonique Porto. posés. Maison’ far
& 7 re : ) K ot pin énéinnnere nca ce mnnmmattéaqehetiate d
de r'inont dhvin.….Té est et telle doit NECTAR:—Vin Brûté. - dét, en. 1914. | :Seuk à
"Tran ton victimes de la géné, des priva- | ni j SE ride Mon de Lin Fe : ;
Vider n'en citomni que de ux, la td TE li être a situgtion du prêtre. ‘de NECTAR—Vin Blackberry. an 5 AA FE dr
question de Ty Séparation, qui tions et des Maladies, la spolia-yésus-C ‘hrist, comme cela res / & se be : Voyez à ce que votré système de cheuftage soit en bon
ques Ÿ pari tion de leur traitement ou la sért clairentent de l'Evangile et Ces vins/sont conformément . tat pour éntreprendfé le rigoureux. hi
a. redus notre cle rué à la pius suppression de leur retraite ne I E I Ana aux lois provinciales. En vente ph mm cl Ù : rréns; Mniie" Re
extréme misère matérielle, ‘:et}} tasit sde wi pitres' des po res. partout. | ; . Demandez-nous: _ ; '
à. eur aÿant pas permis de Se! ps inc Hit ohttasle à | 4 inde 4
h , QUI nt da Lens Age procurér les secours nécessai-| eg er ADP RR | « C. À: GAREAU C'est notre spécialité er EE EE
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td et de Fra sont set à turel. — Rouge. .'Rouge . Ques- Assurances; immeubles! et prêts
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|_gui auderpent de la situation: ___. à mise re. pr Îsueréèsr et eneptes faudrait RER EE : Ll AR de. une t de “trac
RTE terielle “qui est faite." leurs disgiesgis its ; dire que là condition pénible et | : SEE _ 4 Angenieur pour systeme dé chauffage
Lt | pré w: e He est lanténtàble tin Le f console trop facile opus 5 as € nt EAUX MINERALES CRE “ ° ï l
dar la pluipe Lan des diocèses del ment avec de vieux clichés. ‘écarte Jes Vocations et les tue Vichy “Célestins”, Poland Magi : rs
: À SP PR Pr gr ae Dress AE nt 259 Provencher St- Boniface Tel Main 664
France. Les | famaines reli-| Les uns célébrent le désinté. [és leur-naissance: Or, -:sans |] Adénac, Ginger Ale, ef. W. J. BARKER | D à _
gr ie Le, aptel les | “ON Lressement et lhéroisme de no-|Y9* 2 de ulte TE rs à tue De : RS
Léo à nn nous tvignnent-d'un tre clergé supportant stoique- à as € + ie. te Ï . ti de BIERE Entrepreneur és £
. &rimd nombre d'ecclésiastiques ! ent le dénuement'et les pri- che nt ne ra pc li k pe ‘ } ; pompes funèbres
nous apports (LL des PrECISIONS | vations: et, pour mieux les ad- de ire ve ni € Le re An L Rest Faméèüse Bière et Porter Dawes etahbaumeur |
qui devraient faire rougir ‘del hirer, ils se dispensent de les[® plus en p a orihgghe de € de Montréal : tholi
leute tout atholique et tout !secourir. Is-me rappellent ce. Ce que dit le Pape du cle raé : se pésend. ubr | Hd DS À
| rune suis A U retté fe a L st grund personnragé dont me pat- italien -est encore | plus M à ( U}} Cigares, Tabacs, Cigarettes, etc: Dans un district | B À N QU E. ‘P?” H oc a E LA G A
€, lesttal dt Jois ANÇAISES Liait un jour, à Rome, le cardi- {clergé français; car, en Italie, ras résidentiel
dont ls itholiques n'ont pas at Mathieu : l'Etat assure un:traitement aull Gros et détail | se RE Re (M ÉRAVE
ect , € ilsk È ù Q £ ss » £ à » Ç £ La s l2 D] J n s
AR one) voie el Éd Diane a ves HAS ur Dr cle cu parotanial et il r FES X Chapelle mortuai- ! TOTAL DE L'ACTIF 57.200.000
cralgnguttrop de réclamer bau- de Cürie, il-célébrait ‘avec- en: sensib emepl cleve”penc ant la : e d', . us "à re privée ! J:W:-L. FORGET, Gérant — 433 RUE MAIN, INNIPEG, Man.
tément Ja revision. ; thousinsmé ja Sé paration qui guerre. ù ; e IC ar - eall n ë D'acougil ls plus pb que os à Re poire AE et
La Semaine religieusr del: ‘ ; A cè probléme qui se pose en : Coin ,Brerdway & Donald merciales possibles à- nos clients : | Ver 199 9FmaRIeRS pme:
Mn Jte . |s'annonçalñt; ®t; commé son in-| "4 6€ pr -qui po: , oin, merciales possibles ww clien
$ Meaux du 9 août de rnicr publie terlocutéur attirait son atten-{Francé d'une maniere de, plus 330 RUE MAIN WINNIREG j Phones Main 3208 Winnipeg TEE MAN Nous ‘achet ns, et vendons traites,
la lettre navrante d'un vénéra-ltion sur les embarras financiers [© plus angoissante, il faut ap- Ë : Poe ° or, argent ef billets de banque, des
ble cure de soixant cause pus que ne manquerait pas de cré- porter un reméde RE ARE A SAINT-PIERRE, MAN. pt ie aid ü
.. : . N . or ‘ . e, » ranon, ete Css ? rinpolls, vire-Dam
pps: « th quarante-n rs nu Se er à l'Eglise uhe separation in- dical k pen le trouve a Fe ouiden, als en Slet-lete ehtiseée Snint-Norbert,
nunistèere paroissiag"et chargé ljuste et Spoliatrice: "Eminen- [aller à la source mênx du mal. Snint-Jeau-Haptinte et Vitn.
encore maintenant du. service, cé, répondit-il, nos prêtres se- Or, la source du mal, C'est la
de, deux paroisse s, en est réduit ront heureux de manger du loi de Séparation, qui, en spo:
a faire appel à la charité de, pain noir.” Et le. , cardinal) liant l'Eglise de ses biens, en
son évéque Le malin, à dé-) jioutait: “Tandis qu'il faisait! lempéchant de les reconstituer ;
Jeuner, Je ne prends qu'un bol sinsi de Fhéroisme sur le dos[et en supprimant Je pudge! des Là ee
de soupe: SOIT, F. diner, un du clergé; mon :interloéüteur/ceultes, æ voulu réduire cler- Pour obtenir le maximum de satisfaction, consignez. voire gr
bol se soupes midi, des légu- avait au bout dé ses doigts une|gé à la misére et à la me ice | à la Vieille Maison de Confiance des Courtiers
mes,.irés peu de viande. - Je ne fodréhette, et au bout de cette, 11 faut donc réclamer avec la | He LE ts +)
É de Herve vin, rien que de fouréhelte. se-trouvail.un mor- dernière énergie la. _revisjon | 118 N Li + 4
KE eau eaétéran du sacerdo- Gi de pain noir qu s'appelle} d'une loi qui:a produit, sur ce : NE JAN. AU, mit :
- ces si ve k A me pi plus pauvre ne truffe!” point, tous les mauvais effets 6 vain ; a :
Le ! mus pauvre es )a- : ‘a n à al à ectaris \ 4 Las i
Run “+ et DS are TOnoT) ne D'autres se bercent d'un [4 _ ail nait ler: sectärismt | nn id 1 4
"he à, doux optimisme ‘en. célébrant le ses auteùrs. re { !
ais gi PE hptett dE générosité inépuisable ‘des Jean Guiraud. Vérification .atte njéverde 8 orurull généreuses
‘ali : i bad # : ; ; A 4 a Croix _Pori k
Ji Spañien | es antérieurs à cathotiques”* et teone toten) dba-Groie-Paris.— avances, promptes remises
"H lwatires, ceux qi. n'ont! N° qu'elle finit par se-Hasser, re HA :
: 3 k tin Depuis la guerre, elle a été sol. s | : . BUREAUX DANS L'OUEST:
4 U dut pension eUqui ne reço0l- Jicitée ‘de toute manières: les à $ L :
vebt que leur allocation du.dr:
rer du clergé, 6ù
Libre Parole
article
“ôtrt S
en soôtil-ils?
nous l'a dit
excellent imi-
comment ils!
dans
tulé “Nos
vivent” ;
“Depuis doviri
18, nos pré
r ets F
Noé Rodrigue.
Viandes et épis eries de choix,
Roeut. ve 1ù lard anlé
umes veufs :
SAINTE MARIE
ET CINQUIEME AV ENLE
Téléphone -Main 1494
BAINT-VITAL
COIN CHEMIN
Liniment Minard
USEZ DU
LINIMENT,
” MINARD
CONTRE
L'IRFLUENZA
ESPAGNOLE
a Rhumes
Les Enide
Les max à
GORGE
“Aa Diph terie
etc
“impots-desienrent-de pirs-on
plus écrasants; les revenus dé
beaucoup de: eatholiqies, pro-
priétaires te tele ns, ont: baisse
[pat suite du non-pavement des
1lovers et des fermages. DE
-lbe dücoup de cotés, on nous lit
que le denier du clerge est en
déficit sur les annéés precéden
|tes et qu'on:a de laspeine à l
revers. est nn-fait qu'on
lautbait tort de se dissimuler. 4
D'autres, enfin, déclarent qui
cette p£nr ‘aura pour eflef
Ld'amenci NS Erés à embrasser
LATE et Se. félicitent
d'une nécessité qui nous rameé-
Ines ., dise nt-ils, aux tem
|roique s de
hé-
la primitive, Eglise
Plusieurs curés, en eiret,
nt été réduits à demander au
lcommércé les ressources indis-
pensables à leur. vie; on me
[comunIque du: Tarn la lettre
de Ton d'eux qui va monter
[une mercerié. Qui songe rait à
‘en blämer ? Et cepe udant,
est-ce un bien? Eh quoi! les
{cadres du pee --eté-tee-
on
ment réduits, au cours de 14
guerre,-par-la. mort, qu'un
grand. nombre ‘de paroisses
sont säns pasteur et qu'un seul
curé, dans certains diocèses, ên
réunit cinq uu six sous son gou-
vernement. Lès prêtres né suf:
fisent plus aux nécessités de
leur miñistère; beaucoup meu-/
rent à la péine ou s'usent avant
l'âge; ,etræn: voudrait encore!
que, pour’ se. procurer les res:
sources les plus indispe ns: ibles,
ils choisissent un métier!
Fi que penseront de ‘cela de:
.baroissiens auxquels ils ferout
cpncurrence ? » F
Dans -une:lettré- adressée Je
2% juin derniér aux évêques d'f:
taie, : Benoët XV uabordé ct
‘graves: problèmes. LL a consta
0 hits
“SAINT. BONIF ACE
Apres dimance he.
prochain,
L're
Ur
saint
5 octobre
aucun E3 au mem
adinis à faire partie
la Chorale Sainte-Cécile 4e
Bübiface, sauf exception
pour les personnes qui connai-
traient déja Pouvrage que nous
ctudions où celles qui par Vé-
tendue de léñr connaissanée:en
ne Sera
wiusique. pourraient June
sans retarder Ta-marche de là
Chorale. etnotrt ee serà
exigeant pour ces Cas PAF
[tie uliers.
Le *s. membrés qüi chantent
avèasnous l'hiver dernier èt qui
er ‘ore fait acte de pré-
sence cet Aomne, auront leurs
noms ravés dèda liste officielle
des membres actifs à moins
qu'ils avisent M. Henri Bour-
goaudt, Casier postal 113,-Saint-
Boniface, par lettre, donfant
les raisous qui peuvent justifier
leur absténtion jusqu'à date
Les messieurs “nors et bas-
ses” brigient par leur absence,
dimianché dernier, ef je ne crois
vas me. fromperien-disant que
CCuxX . qui étaient présents
étaient de ceux qui ont e moins
Hesoin-de fépétilions, ‘La répé-
tidn age lée pour mardi der-
mer à l'Ecole” Normale était
IR guülement- désastreuse SOUS le
|rapport de l'assistance, Croyez-
|vous que c'est bien. encoura-
| a ant pour un. directeur, de
cénstater un se inblable état de
choses, &t qu'après, un”. abo-
{ricux exercice dè deux heures
lil se. voit dans l'obligation de
Frecommenuer ‘de noûveéau pour
es absents”? "Non, messieurs.
| cela ne De ut durer, et si nps
Lu: nie hs He jugent pas parle
but de l'Association vaut'la pei-
mure gomme
re l'incomparable inêtrument de musique" ; Y
Î
nous ferons un plaisir de vous faire. cette dénioann
PS EE EE
ENTENDRE
“CEST CROIRE
PRE has
‘.C'est la grande: preuve,
porte quel Instrument musical
FONOLA COLUMBIA - démontre son droit incontestable au tire de
i
la preuvè
FaiteS ao ur eh ui subir la grande épret ve au
lernière des qualités de n'im-
lugé d' après ce le GRA.
principe
COLUMBIA, -Nous
À
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à : | n
x a
Exchange, Winnipeg, Man,
Grain Exchange, Calgary, Alberta
Canada Building, Saskatoon, Sask.
The Cusson Lumber Company, Le
TEL. MAIN 2625-2629 SAINT-BONIFAGE, MAN.
Manufacturiérs et marchands de
toutes sortes de maté:
riaux de construction RU NE x
Marchands en gros el'en détail de gravier, sable et bois
de corde
Spécialité: les ümeublements d'églises.
Carrière de [gravier: —
BiRD'S HILL, MANS
Carrière de sable: …
FSAINTE.ANNE, MAN
.J. O. BRUNET.
Manufacturier et importateur de
MONUMENTS. FUNERAIRES
. +
en marbre, et granit, statues, éte,
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Bureau et atelier: ‘
+ 346 ‘AVEYTACHÉ ST. BONIFACÉ
(En face de l'Hôpital de Saint-Boniface)
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TEL, MAIN 5325 RES. MAUN 7106
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Vous êtes invités à venir Yoir notre sai:
»ssortiment. AT
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— Je terennm tes Pértiss SE
truments agrieol s, bé xl TN" ETES
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Abintavile lire son Sun du
.- du maitre de. ‘poste, M.
ture mixte,
ss€ pour le ne ttdé poys.
A Coulce des poissuis ést
agen ntcélôt
et les xict du. pays. Ce
ruse regorge ‘ce spé ndidié s
poissons au printemps, et l'en
_Pwiént jusque du Montana pour
C# faire la. -péche.i Ce. poisson
nous vient du lac F ife. Oui,
‘faut le toir, ée beau ac nux
aux douces, bordé de riches
terrains en culture...
‘Un peu éloigné du ébenumr de{oqu'i ya"eu d'habiles organisa» 1 Be une béurrerie
fer pour lé-morment, c Qui EX
Phique | pourquoi celle. _coptréc
est inconnue et n' cs Das nissil
dvanc ée dans son ‘dtéxi loppe-
.mént que d'autres à proxinnil
dé lu voie ferrée, Küntenvill
‘est : appelé. à devenir tn centre.
: Comme riche ssi du sol, nous
pouvons dire que c'est un des
.Mmeilleurs voisiniages di Willow
Bunch,
* Kci, perme tez-meot ur petite
digre ssion. Le !#)- jus tje‘li-
sais dus li Patriote un art Li
son sn. +-Qrekqu on qui st!
certainement pas--de Va région |
de Willow: Buncli disaits (Sins.
° mauvaise inténlion, Särs dl Dre
te): “Lacrécolté duns Er région
‘4 |
de Willow Burich este ornpl te]
Li M le’ not te Liondé ‘ou. à
ment ni: anquie." Je-crors que
Notre amiferait bien dé venir
gr les licux Susrenseigner, au:
jourd'hui que Jes-batluges sont |
commences, eb.les vi ndements
Sarre pet de 15-06 piaéits à laure
et méme pour: “quelques-uns nu
+ débsus; cela le Convuinquérait
qu'il a écrit d'Âprés de fausses
henl. Committee. Tremescing
informaliqns.
Ï y & trop de régions malheu-
Éeuses dans Le pays, éette an-
ée, mais ce n'est pas tout le
(pays. EE nous pouvons dir
que lirégion de Willow Bonecl
:Contribuera au relévement de
IA moyenne du rendement à
l'acredans la. Saskatchowi in,
Reveñoôns à Kantenviltez d qui
offre de sérieux avant: ges: aux
éojons désireux de s'établii
dans un centre canadivn, Déji
. Une quarantaine de fovers ça
badiens-françcuis son #roupés 1
autour de notre jolie pelite y
sé avec. ur. pasteur nn
On nous: assure. que 5 chémin
: der fer, noûs AFRO Fan .
chain Se S ar pi pla ir ÿ Jon
. Poe uvre, cel des détrre arches’ ac
dives SE Contipuehl auprés. di
“gouvernement dont nous at
tendons 1 RISIONS de
à l'autre.”
Le voisin: td du Canadien la-
pieux et économe à toujours:
un sujet tle catchemar pour
ET is quia le droit de, Vivre
4. nos côtés US qui ne peu
: ar résigner.s Or, à Ki inténvitle
comme, ailleurs, où des Cana
gns Sont en majorité: ils son
‘vendre, à des prix et à des
S pditfüwns qué vôus trouver
Ifficilement milléurs. Les prix|
varient selon Louvrage fait Sur
ÎTSCITS=
chevalñx qui peuvent s'acheter
avec le terrain. Le prix du ler
rain varie de $2:000 à & 1000 du |
qggart dé section, cwst-ï-dire
par 109acres.
Je votdrais ‘bien qué ‘ces
quelques ignes ricont 4 tou
os bonus Canadi: Déalritounis, |
pérdus à drone Fe à géuche |
dans les centres : lit is Fe à
copapatriotes, VOIS SOU Et s. di
Eiges vers POuest suins orient
tion, et vous avez fait un tou
© NAS Choix, le-Sol est D ut-ctre
Don, ais Nous roles pas chez!
vpus, et vous le sentez bierr Et
“ous vous dites: “Oued fi=
dront nos enfants 'uvec les 6 r- |
és pübliques ? Pas:de français, |
à Hs dé religion”: Mais. sovez!
; Lu
"4 "Que conseéquehts.. N'hésitez!
us, vendi Z, Meme SIT Vous!
aut faire des su rilices, ct ve
nez noustrouvetavee voseheprs
|
* enfants, à qui ‘nous donneon:
Jépain national en méme {temps
sue lecpuin Spirit Vous Ed
gérez dihsi-une. fortune, ais
en, remplissant Les devoirs su
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LT fi +. +, SEIGLE. éd Dimeñts. Le püniot-: RCE
LE 2 C. W. s ; CR 1.384 Choux-fietr, La. douzaine É 82.0
“Déchargé” veut dire decharge à l'e. , jus =:
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F Port.Arthur, : Conformément À l's arrê 16 gvuvérneinen:
La cote pour le. grain ? “tough", ‘re: tal. Comptant aux.m auds ï f
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| Les qualités qu’il oit ax avoir: pour que son élevage
soit profitable
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En fait de viande de mouton,
le marché demande sürtout'des
agneqyix. x. amjeurd'} hui, ‘ou du
moins-des animaux jeurres ét
‘relativement légers, de même
veut des quarlièrs pais,
a
cherchés par personne.
_
—'übtenir. des rendements,rapi
que pour: le boe uf at : lé-pore,
et mémé-encore plus qué pour
cés deu derniers. Le cuisinier
bien!
de mais plutôt
garnis viande,
légers, pour la tuble de la mai-
son ou por celle du. restau-
rant. Le-consommateur.a ap-
pris à apprécier l'agneau tendrè
et savoureux, si bien. que la
“proportion de moutons envoyés
au marché avant l'âge d'un an
#staujourd'hui de 70 à 80 pour,
100 du total. Le régne du mou-
ton lourd, fortement: dévelop-
pé, sémble avoir disparu, cir-
constance dés plus favorwbles à
-l'éleveur auquel. eHe. permet
* desde, son troupeau. Sans:dou-
te, il se vendra toujours. dgs
mottons d'un âge. mür,. car
dans le cours: erdinaire des.c ho
ses, les sujets, reproducteurs
doifent un jour ou l’autre pas-
ser à la boucherie. Cette de-
manäde croissante d'agneaux est]
d'un bon augure pour l'avenir
de l'industrie, mais il faudra
preñdre-les précautions néces-
saires pour maintgnir et amé-
hiorer la qualité dû produit. Ce
” est pas tout que d'obtenir des
neaux à dév ‘eloppeme nt ra:
fde; il faut encore qu'ils pos-
ie nt les qualités requises par
le commerce de choix. Les su-
jets de choix, obtiendront Tou-
jours un prix élevé, tandis-.que|
les agneaux maigres, déchar-
nés, à dos mal garni ne sont re-
Le mar-
ché veut de la viande, et cette
viande est d'autant plus estimée
quand elle se trouve sur lé dos,
les reins ou les cuisses,
Celui qui veut produire : des
agneaux pour-le marché doit
fout d’abord se moñter un trou-
peau uniforme de brebis vi-
goureuses, toutes bonnes four-
rageuses, actives, bonnes mères,
reproductivés fécondes et régu-
lières et bonnes Taitières. La,
production de laine ne doit pn$
non plus être négligée.
{mé du resté chez les femelles
de toutes les autres catégories
de bestiaux.
buste met au monde des petits
fqui pre nent courageuse mént à
la vie, l'faut aussi qu'elle soit
bonne mère, c'est-à-dire qu'elle
s'occupe promptement des jeu-
nes agneaux, € és, leur nitissan-
ve, et-qu'elle leur. fournisse
Ibeaucoup de Tait, Les brebis
[de ce genre ont wne … poitrine
Harge et profonde; elles sont a:-
sez compactes, tout en ayant
imetofgne ur suffisante” pour
des côtés de bonne
dimension, La tête doit être lar-
{sont larges, doux, bien ‘ouverts,
et les narines bien dilatées. El-
les ne doivent pas présenter de
signes d'empätement, pas plus
du resfe que. de raffinemeñt, in-
dice-l'une constitution délicate.
Le. sont-dà-des-caractères-qu
l'éleveur doit rechercher F'il
véufôbtenir des agneaux sains
et vigoureux. Nous+en venons
maintenant à l’autre aspect de
la question: les exige neés du
marché. Ù
Le mouton de Lo barte consi-
tdéré au point de vue
du boucher
>
Le corps de l'animal, consi-
déré au point de vue du bou-
cher, nous servira de base pour
évaluer les bonnes et les mau-
vaises qualités du mouton. Au
sons de vue de la boucherie,
la valeur de la viande--varie
beaucoup suivant les différen-
ites parties de l'animal. La
viande la plus précieuse est cel:
le du dos, des reins et des quar-
tiers: de derrière. C'est pour-
quoi lé boucher veut ‘un . dos
large, des réins larges et bien
garnis, ét une ouisse bien.re-
couverte de chair; l'épaule ne
vaut pas autant que les coupes
postérieures. Le eou est une
parte bon marché, il vaut d’au-
tant plus qu'il est plus épais,
mais commé il se vemd nel
cher, on ne doit pas chercher
à le développer ‘outre mesure.
I faut cepéudant éviter un-cou
mince, qui indiqhe une consti-
bi faible et qui du reste
‘associe gét nérale me 11 un
a
A Viduieur 6st ne condil tion
esse ntielle chez labre bis, cont- |
RU frêle.
rêtre court et épais ef ce carac:
freres + versés 26644
COMPATRIOTES, LISEZ CECI ET MEDÎTEZ:
mm
+++++ 044440 eee vs
: Adanac. Grain Coy Limite |
J.-M. BESSETTE, Gérant du Département français
a
Une femelle ro-|
tère se édite e és galement dans
RSONPRNEMEr.
La culture mixte tire uñe certaine parti
marchandes" , Corme cérlaines céréalés, les
pomines de terre, les fèves, éte., qui vendént
bien pour l'alimentation |de Ehomm , et ung
autre partie — fui devrail être la ‘pluk forte —
de la vente des animaux et de leurs! produits,
boeuf, mouton, pore, lait, volailles, ue
Les profits de celte dérnière valëgorie v nent
de la consommation sufplacé’'dès récoltes qui
ont une faible valeur marchande, et, jusqu'à
un certain point, de la consommation d'ali-:
ments concentrés, achétés spécialement" pour.
fournir ces éléments qui font défaut dans les
gros fourrages. La consommation de:ces four- ‘mourrilure très riche en protéine.
rages par les animaux, fournit un moyen de .
transformer des récoltes volüimineuses et à bas.
prix en produits concentrés de haute valeur, et
c'est là qu'est le, profit princigal de la culture
mixte; lorsque. l'exploitatiüi est conduite habi=--
lement et d'une façon rationnelle.
Laissons de côté les récoltes vendues en
nature, parce qu'elles coûtent trop cher pour
pouvoir ‘être. utilisées aväntageusement dans
l'élientation du bétail; il est clair.que plus le .
cultivateur peut obtenir de bons fourrages sur
sa ferme, moins il est obligé d'acheter: d'ali-.
ments, ét plus $es profits sont élevés En effet
L ilisation sur krfernre même-des-fourragés
qui en proviennent, permet d'abord d'obtenir
de3 produits ayant une-plus grande valeur; elle
permet ensuite de retenir sur la-ferme la plus
grande partie des éléments de-fertilité que con-
tiennent les récoltes, et c'est ce:fait qui nous
explique pourquoi ‘l'engraissenient du bétdil
est le facteur le plus économique et le plus pré-
cieux de tous ceux qui tendent à augmenter la
richesse du sol. Mais il y a autre chose: on se
passe de payer un tribut au fabri.ant et'aii ven-
sa de moulées.
-_ Le-cultivateur. devrait ‘donc. s'altacher à
utttiser autant que possible ses récoltes sur la
ferme même, afin d'être indépendant des meu-:
niers, pourbn, bien entendu, :qu il n'emploie
pas pour cela des récoltes qûi lui rapporte-
raïent: plus si elles étaient vendues en nature
pour l'alimentätion. d': l'homme. Il doit tout
d'abord s'arranger pour obteniF le: gros four-
rages, c'est-à-dire l'herbe, le foin, l'ensilage, les
racines et les plantes fourragères." Ce sont là
strictement et exclusivement des aliments à
bétail: bien employés ils peuvent être vendus
plus avantageusement sous forme d'animaux
ou de leurs produits queéde foute autre façon:
t£e-cullivateur prévoyant veillera donc à avoir
une quantité suffisante dé ces foürrages pour
satisfaireVous les besoins de ses animaux.
Ilest à noter sous ce rapport que la qüalité
des fourrages obtenus détei nüne ans une lar-
ge. mesure la quantité €t la qualité le la ration-
‘dé grain, les aliments concentrés, dont le culti-
vatetir doit acheter ane partie dans les circons-
lances -ordinaires.-—Par exempte, st te cültiva:
teur a du:foin de trèfle ou du foin de luzerne
qui sont tous deux riches en proléire, àl n'a
pas besoin de donner autant de_grain nt du
de ses profits des récoltes appelées, “récoltes |. téîhe,
ele. je sommes pas loù
*centage maximum de cellulose (fibres).
‘établir la valeur comparative des
‘grain aussi riche en protéine que si son foin
-186 composait principalement. de’mil. ({léole)
et d'autres graminées qui sont .Pauvres en pro-
PL Le
‘ Autre éremble : le foin de ligérne de bon-
ne qualité peut remplacer en partie le son ou
un aliment du’ même genre. daris la ration des
vaches laitières = 1% livre à 2 livres de foin
de luzerne jtbalst à 1 livre de son: Nous
e la vérité en disant que
“l'emploi de foin de rane au lieu de foin de
‘mil ou de graminées permettrait de réduire la
ration de grain au ntoins d'un tiers.
. En ce qûi concerne la ration de grain elle-
même, il y aurait quelque chose à faire dans
la méme voie. Par exemple: les pois sont une
S'ils vien-
nent bien sur la ferme, on péüt les donner
avantageusement à plusieurs calégories d'ani-
maux lorsqu'ils sont moulus et mélangés. à l'a.
voine, au son, elc. Une bonne provision de
“pois' contribuera, beaucoup à réduire là quan-|
tité des aliments que l'on serait AU d'a-
chetèr. :
Dans l'achat des moulées ét des'sous-pro-
duits de meunerie, “généralement appelés ali-
ments concentrés, il ne faut jamais oublier que
le cultivateur recherche d'abord la protéiie, et
en deurièmie lieu la matière grassé. Il a be-
soin de neurriturés contenant ün yros pour-
crentage de” ces éléments pour éç uitibrés Ter TA
lion, qui se compose principalement de-fourra-
ges cultivés sur la ferme et päuvres en: protéine
etsen matière grasse. Les prix du marché ne
sont pas toujours proportionnels à la richesse
en proléine*el en malière grasse et, pour cette
raison, le cultivateur fait bien d'étudier les
prix en même lemps que la composition. IUse
vend beaucoup de pauvres aliments à des prix
qui ne correspondent nullement à leur valeur
en Rappelons au cultivateur, sous
‘ce rapport, que la loi des aliments à bétail sti-
pule qu'un grand nombre d'aliments, (à l'ex-
ceplion du son, du pelit:son et’des farines de
grain entier) doivent être vendus sous tine una-
lyse garantie, indiquant les pourcentages mini-
ma.de protéine et de matière grasse et le p&ur-
Le
cultivateur qui defnande les prix doit insister
pour avoir cel garantie et l'étudier._ Il doit
la compar aux prix et aux garanties donnés
_par les rt marchands avant d'acheter. 11
doit la comparer aux prix et aux garanties
donnés par les autres.marchands avant d'ache-
ter. S'il désire avoir de l'aide pour arriver à
aliments,
nous nôus ferons un plaisir de la lui donner,
pourvu qu'il nous fournisse tous'les renseigne-
- ments au sujet des prix et de la composition.
On trouvera également beaucoup: de ren-
seignements utiles sûr les fourrages et les ali-
.ments dans le‘rapport-annuel-dti-service-de la
chimie des fermes expérimentalés, Tous les
cultivateurs qui élèvent des bestiaux feront
“bien de se procurer un crempiaire de ce rap
port pour le lire.’
e
FRANK T. SHUTT,
Chimiste du Dominion.
tout lé corps de Doinul.
Ee boucher divise nasiupies
élevé est plus) importance.
reins, Un rein Pour être d’un
généralement nu bien four-|bqn rapport le mouton doit
| ni de viande. Quelquefois, aus-|avoir une constitution vigou-
‘ n C2
{ dins les beautés et les charmes.
compter sur le climat et sur une |
Onel est le er er qui a fait affaire {avec nous et n'a pas été
satisfait?
Nous faisons apvel aux ('anadiens-franc Le Don pas parce aug. nous ;
avons un département française n'est qu'aécôrder leurs droits "à
nos confpatriotes dé langue française, —Mais: bien par l'excellent ser-
vice que noëx pouvons leur donne
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Pourquoi
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let bien recouverte
ment l'animal entre la deuxiè-
me et troisième côte. La )ar- |
tie de devant vaut environ.deux
centins de moins par livre que
la partie de derrière. Au point
de vue du marché, il faut donc
rechercher surtout le dévelop:
cer éh du dos, des reins et
’arrière-train. Une pétarme. |
tion lisse de toutes les parties
est également importante, L'a- |
simel dont la conformation est
anguleuse, ou grossière a géné-
ralement le sommét de l'épau-
le ‘accusant. une’. dépression
marqué e entre les ’ omüplates.
Cette région. -doit être plate:sur
une étendue de 6 à:7 pouces,
de. chair,
dans le mouton gres… Les côtes |
doivent être hbién arquées ‘et!
bien garnies’ de chair ferme.
L'épine dorsale ne doit jamais |
être saillante sur aucun point |
de sa longueur, même dans les |
moutons peu charnus.
On rencontre souûvent,, dans
les animaux bien recouverts de!
‘chair, une dépression Je long de |
l épine dorsale; cette
sion n'est pas un.mauvais signe, !
mais un dos plat et -bién lisse
doit ètre’ préféré. Les reins
(lombes) dôivent ètre bien gar- |
nis et bien eharnus, mais il faut !
éviter-un. rein élevé.et-veûté,
L'égalité, la symétrié, -recom-
mändées pour l'épaule, K dos
et le dessus des côtes, doivent.
également se trouver dans les!
dépres- |
| si, les reins peéuve al paraître |reuse, pouvoir consommer une
élevéS à vôté d'un dos bas et grande quantité de nourriture
creux, que l'on doit toujours-re-|et la- transformer en viande
jeter comme une mauvaise con- d’un: bon prix au coût le plus
formation. Pour produirè une | bas possible. Ces qualités vont
| bonne qualité de chair, les réins invariablement avec utie pui
l'doivent êtré larges et épais, trine large; un Corps profond et
On voit souvent, parmi. Fr des côtes bièn ärquées, donnant
|{troupéaux communs du pays, beaucoup de .je u aux poumons
|des croupes tombantes. C’est |et aux. organes digestifs. L'éle-
là un très grave défaut, soit que | eur judicieux recherchera aus-
l'inclinaison soit dans la diree-|si une bonne taillé, parce qu'il
lion, de la queue où vers : la faut un animal qui atteigne un
Le train d’arrière doit | bon pôids de bonne hèure. Une
\se prolonger droit et bien rem-|tête courte, large, des : yeux
pli, aussi bien sur le dessus que 1 pleins et-brillants, des narines
sur les côtés. Un mouton, en |dilatées, des lèvres épaisses, un
|bon état de chair, doit être sur- | Cou épais et fort,-un corps Eu
‘tout fort du farret aux hanches fond et des jambescourtes; tous
Le gigot-de mouton doit nôn|ces traits indiquent un animal
seulement être- bien garni de vigoureux, prospère, qui donne-
| viande à l'extérieur, mais aus-|ra un bon rendement pour, la
si à l’intérieur, entre les cuisses: ‘nourriture consommée et four-
et la chair doit bien descendre nira à l'abattage une
jusqu'au jarret, en forçänt les charpente, bien-garnie de chair.
liambes de derrière ä se ténir Outre ces harques d'excelien-
bien écartées l'une de, l'autre. |ce-exigées.-également-pour :le
En tâtant le gigot, à l'intérieur, boucher et l'éleveur, ce der-
lon doit constater, dans un bon! nier, s’il veut former un. trou:
mouton de boucherie, une borÿ | peau de race. pure, doit aussi
ne épaisseur de. viande. donner une grande attention à
| Au point de vué de l'éleveur. |la qualité de la toison,à la cou
Tant qu'on ne juge l'animal |leur et à la qualité de la laine
| qu’au point de yué A marché. | recouvrant la tête ét les jam-
le tour de poitrine, le poitrail | bes, et:à la couleur dela peau.
ou la ligne des flancs ne rèçoi-| IL doit également ‘étudier : Ja
vent, que peu d'attention, mais | <onformation générale et 5'as-
dès qu'on le considère au point |surer sj elle eorrespond. bien. au
de vue de l'éleveur, ces mêmes typé de la race à laquelle l'ani-
Lars promet une grande mal Rparien À
2
Î AY ‘ “ i LE
bonne |
\ Wie jee |
i
Les habitan Fu _.
——— ,
Le Bulleti
Were
HT PA ont de nos
jours la chante de pouvoir
écouler. les produits de. leurs |
sueurs à des prix. noir La il!
n'en faut pas conclure qu'ils se
classent par le fait méênte dans |
la catégorie de ceux que l'on
désigne sous le ‘nom de Die
teurs de Guerre”.
Ce n'est pds potre. Re
de faire un plaidoyer pou
défense … de hante
erpes cependant nous vou=
drioïis attirer l'attention de ngs
pa
lecteurs sut quelquës conside-
rations, qui leur émontreront,
du. moins jusqu'à .un certain
point, que nos braves habitants |
ont raison d'exiger des sommies |
assez delettes” pour leurs |®
produits. D'ailleurs, qui fait les !
te élevés des proëlüits de: la |
erme? ‘C'est la concurrence,
c'est l'état du marché mondial |
et surtout américain. Car en |
{cette matière surtout, nous su- |
bissons l'influence de nos puis-
sants voisins.
Mais la cause” prinelp: ile et!
légitime du ‘haut coût des pro-
duits du sol repose, croyons- |
nous, sur ün'autre fait, c'est-à-
dire sur ja difficultés et la
cherté de la production agr ico- |
le en général. +
Certains érateurs en rédin-
gote clament. le retour à la ter-
re. Des poètes à la vision em-
bellissante chantent-gux : cita-
”
de la vie rurale, c'est très bien.
-Ges'hommes au verbe éloquent
et ces artistes à l'âme enthou-!
siaste, font: oeuvre patriotique |
et nationale en incitant nos con-
-àe-Sultére-de-notret-
patrimoine si riche en: ressours |
ces agricoles.” |
Mais, en définitive, se rend-on |
compte dans certains milieux
dés sacrifices sans nombre que
doit faire le cultivateur qui!
veut réussir et progresser?
jeu plus grange. ph dr à
RAC ce RE nécessaire cette an
| prenne, pour devise le fameux
‘ Où anthracite,
ï LS HA k vrai “ ® à YU DÉS ACTUS 7 RCE È ? ile
| fn M : À 4 ‘ Hé de
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TUE CALUT NE PASSER
me CERN 7
er est certain qu que nous aurons
Jde l'influenza cet: autormné et
t hiver. : Il a causé tant dé -
ei l'an dernier vus "il est Ra.
| tairi qüé le monde
pe est.
mot de guerre: Hs ne passeront ‘
pas. Les IR 4 a la salubrité
publi “h dans loutés-les gran-
des villes sonpent l'alarme ‘et...
réparent:la lutté : contre ce:
éau: Vous pouvèz sans crain-
te faire face à ce mal si vous te.”
nez vos intestins en bon état et”
aidez à votre digestion. L'Elixir :
Américain-de VinAmer de Tri- .
nerest le meilleur remède dans
cé cas.
Il assure le bon fone-
tionnemeni des intestinf! régu-
larise la nre et tonifie tout:
l'organisnié, Ayez-le cliez vous,
ainsi que. le Tonique Amier Ah-
gelica de: Triner, très efficace,
dans les cas de fièvre: et les con-
valescences de l'infuenza. Vous
obtiendrez tous ces produits de
n'importe quel pharmacien. Jo-
{seph Triner’Company, 1333—
1343 avenue Ashland- sûüd, Chi-
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“SAUVEZ DÉCOMBUSTIBLE
”
Brev, nov::1917
Cette étonnan-
te Invention
pour économi-
ser.le combus-
tible vous di-
j- minuera de "25.
Pr 05 ER TE TOM dé Voiré |
chauffage £2t vous donnert double
de chaïeur donnée par les clefs or-
dinaires, , Vous aurez ,un égal ré-:
suhat avec bois, charbon, bitume
Vous pouvez vous
servr de cet appareil pour poële de
buisiné, pour “Tortue”, pour: four-
naise À air chaud ‘ou à vapeur, Il
vous protégera aussi contre le feu
Ceux qui ont été élevés sur des +%228-les-tuyeuxs
terres en savent quelque cho-!
se. Nous, gens. de ville, huit |
heures dans-un bureau ou dans |
une boutique, cela nous-paraît
long: Le fermier, lui, est de-
bout’souvent'iñême avant l’au- |
ore, puis quand il s’est acquit. |
té de’ toute sa’ besogne du jour, |
il s'aperçoit qu … a peiné pen- |
dant 12 et même 15 heures. Par |
contre, l'homme “des champs |
jouit du grand air et ins vastes |
horizons. Mais aussi n'a:t-il,
pas plus que les autres à souf: |
frir des intempéries des saisons |
à cause de son éloignement des |-
centres et des diffic ultés de|
communications ? S
Pourvu que la. santé ne Elnbe)
pas défaut, l'homme des villes |
est sûr'de “toucher” sôn salai- |
re au bout de la semaine ou du
mois. Le cultivateur, lui, doit |
foule d’autres choses incertai- !
nes.| Si l’année n'est pas bon- |
ne, $i la sééhérésse re fait trop |
vivement sentir, voilà notre
homme avedes revenus beau-
coup moindres que: ceùx qt&il
escomptait d'avance, Voici Lun
animal qui se-blesse-et mebrt: -
c'est #100 ou $150 de perdues.
Et ainsi de suite...
Voilà pour les’ difficultés de!
là production des ‘vivres. Et
maintenant la -cherté. de la
main d'oeuvre agricole kt de
l'outillage doit être .é gale men!
prise en considération. .Noug ne
sommes plus au temps où un:
homme se’ donnait pour. sa
nourriture. Les habitants. doi
vent le payer et le bien
Les machines modernisées . et
améliorées sç vendent nécessai-
remént lus cher, Ainsi. nous
ne sommes pas juslifiés de blà-
mer le cultivateur qui demande
un fort paiement eu retour des
efforts-et des. dépenses qu'il
s'impose pour faire produire
aux éntrailles du sol noürgicier
le pain que nous mangeons.
L'expérience nous convainerait
que nous avons tort de récrimi- |
ner. Il y a des terres à Yéndre |
et les gouverhements fachite nt)
Pétablissement-sur des fermes.
Essayôns du métier. d'habitant
et nous verrons si nous pouvons
vendre nos produits bien bon
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“Québec,
jours d’ actives recherches, les
agents de la sûreté publique
_opé ré quatre arrestations d
© Ju ville de Québec dans la jour-
‘hi On croit que Îles
hommes arrêtés sont réellement
us qui ont commis le vol de
#75,00) sur l'Oceau Limitée, en:
tre Lé vis et'Montmagny. Ceux
que l’on a incarc érés hier sont
RES T'opping,
sur le National.Ca
närdin-T. Protea
* »vasseur, beau-frère de To ping,
et Näpoléon Bélangef de Lévis.
Les deux pfemiers seraient les
les autres
née
t-que-
-cént des Guvriéral 2
de 96,006 employés
les usines ne sont pas: ren-
deuxième" journée’ de la
e de l'acier dans le district
isburg a vu les patrons et
les grévistes essayant de faire},
*triompher leurs idées." Les re-
: présentants des compagnies. an-
noncent qu'ils sont en meilleure
lure au jourd'hui que
es usines furent fermées lund
De leur côté les chefs des gré-
-Wistes déclarent que La grève.se
k ” répand d'ûne manitre générale:
et que l'industrie: de l'acier se-
ra dans quelques jours para-
‘Apodes |
re GE
Les bandits qui ont volé
$73:.000 sont arrêtés
————
auteurs du. volet
kurs: complices!
qu'est
possession bientôt.
-core
bec.
Washington,
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Aérien, que
Wilson avait TRREoRe de la
la Paix des ca-
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* la. façon dont
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Georges Le-
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avec Napoléon Bélanger
sur la rue St-Joseph, et l'autre
au Bureau de Posté:
fut trouvé à sa maison...
.. Où ne suñ rien enopes:Ëe ve
l'argent
mais on espé re en recouvrer ]
PenhisYlva-
CES cadeaux
la plupart en
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Sénat
Président dent, et
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Une lof passée aux, Etats-Unis
en. 1910: défend aux 1 résidents
de la république voisin:
" Cep sortes
en
tions.
FR Ê eur
ment annoncent
centre-de Alberta les battages
sont envoie de complétion. Lefee,
rendement agricole, en fait:de[Le:
blé, atte indra dans certairs dis- [Ten
tricts juSqu'à 45161 59 boisse “AUX fut ‘perdu ‘dans le brouillagd
Les Fécottés d'avoi-|4ui couvrait Ia mer.
né ‘et d'orge sont bonnes,
par aucre,
“dt
que
Régina, Sask. 23.--
tages sont. maintenant à
près terminés dans toutes. les
parties de la provinee el , le
mouvement du blé s'opère avec
EFlevator Company
majorité du
grain est du No 1'ou durKo 2
rapidité,
rapporté que {la
de cadeaux
ant des chefs des autres na-
Où comprend -que es
adversaires du Président Wil-
son tireronf parti dé cette déso-
béissance à Ja loi dans leur lut-
te contre sa politique.
re de
ré recois es «ans l'Ouest
d'ac-
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dans le
Les bat:
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Te P.-N
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donsent qu'il y a deux
mes de-
atteints ‘par :
As nombre d'autres
mie nt te
lués, deux soldats|! SG nt le |piscopat. : +
ir dalle, ét un! Eat hier, a! L'épiscopat ‘américain a Tin:
n- démontré A la com ie|tention de former une organi-
Coca-Cola a nee sation-sous la ‘présidence du
né I
À eut lieu près des usines de
la “American Steel and Wire”.
La foule et les. grévistes .au-
‘[raient provo
lançant des
+=
A deux reprises, on fit venir
groupes de
policiers
Lackwanna.
Il y eut, dit-on,
prèésdume centaine de gendar-
mes d'engagés ‘dans la, mêlée.
Trois hommes: ont été
dont deux qu'on.accuse d'avoir
inc ité la bagarre.
me D
Du bisbille à Hamilton
Hamilton, Ont.,
en croit les dé olaratious de éer-
ONtlfains des délégués au Congrès
ADS des Métiers ét du Travaik qui se
tiept actuelleinent à Hamilton,
les plus radicaux s’efforceraient :
de. renverser la présente admi-|f ÿ
nistration du Congrès.
que l'administration
qui est animée de sentiments! :
assez conservateurs, ne préténd
as *'Lrosid par tous les vouloiss
,
une forte, ré
n liter
abandonnerait
tance. # De
ätionale est déter-
s'opposer énergique-
ment à toute résolution qui irait
à l'encontre des principes prô-
nés par elle.
Les radicaux en *évudraient
tout au secrétariat: perma-
ui a actuellement tenu
. Draper, d'Ottawa.
Ecür tactique coñsisterait à
exiger que M. Draper, qui est
‘en mêine temps ermployé
4 [Service Civil, ne s'occupe cx-
Tclusivement que du secrétariat.
L'on croit qu'ainsi M; Draper
le secrétariat
plutôt que de résignér* son-em-
ploi au Service Civil.
Lu cause du mécontentement |du pavé, couverts d’honneurs.. jtions, Espation que le gouver-|
| Dishoa caxléaux à M. Wilson dés radicaux serait la position
! hu que le Congrès a
l'affaire de Winnipeg, position
qu'ils disent avoir élé inspirée
par le président M. Tom
IS protestent contre le
rise
Les souverains de Belgique}ra peut-être les
- surla mer- 3
PRES
Ostende, 23. —
la reine E lisabeth et le-prince
héritier‘ de Belgique, Léo opold,
se sont embarqués hier
l'Amérique.
- Le roi Albe rl,
+ —
A. Toronto comme à Ottawa turiers de moteurs a demandé
——
Toronto, 23.
vés de Fécole
Tous les élè-
de Williamson
Road se sont mis en grève trois que les taux de fret et
fois hie +r, parce que le ‘ur prin- ranc& étaie nt assez éle vés pour
cipal, M. T.-I. Davis, a été con- protéger la
gédié et” rémplacé par un autre glaise contre l mporte non amé-
‘affaire en
riques et autres
projectiles aux policiers et au-
tres officiers à qui a été donnée
garde de ces usines. Un £er-
m4 7 Paul Prouse a été tué in$-
nt d'un cou
de pis-
tolet, dès les débuts
Ée.
la ne
arrêtés,
23, Si l'on
On sai
actuelle,
son
dans |©
à
oore,
prési-
t-demandent que le sé-
nafeuf Robertson soit rempla-
cé" par un membre élu par la
Chambre des Communes,
pour
Hs sont à l'heure
actueHe en haute mer: Les roy-
aux visiteurs font le trajet dans
le ansatlantique
Ge ce Washington.
s furent l’objet d'une ova-
tion enthousiaste à leur départ.
Des-milliers d'enfants rassèm-
Map es rapports blés”sur les quais pour. la cir-
gouverne-fcohstance, chantaient
nalional belge.
américain
l'hymne
La reine Elisa-
beth, en signe de reconnaissan-
salua les. petits chanteurs.
acclamations se. prolonge-
jusqu'à ce que.le bateau
Cardinal . Gibbons.
partie du comité:
000 livres dé sucre en. Go ag Ve
doon, de Roékford;
|pendant que les m
tailleurs ne peuvent avoir : +
provision nécessairé à la’côn-
sommation. Harry Whitla, a
déclaré qu'il télégraphiera im-fV
RER TT à Ottawa 4 ce su-
M te a répondu à
KA qui lui démandait si J'au-|
torité saisira upe partie de cés
240,000 livres de sucre, que le
juge Robson décidera ce mn ‘il
faut faire.
Clarénce Ranard, gérant de
la compa Coca-Cola, . a dé-
cläré que la compagnie avait en
effet 240,000 livres de sucre, eÿ
entrepôt et qu'elle ‘a: énvoyé
prés de sept chars de sucre
dans les dernières six semaines
aux marchands détaillèeurs. A.
MäcDonald, de la MacDonald,
Cha pman, Ltd, épiciers en gros,
a afñrmé que durant. les trois
jours précédents il a reçù trois
chars de sucre qui-a été immé-
diatement-distribué aux détail-
leurs. George McLéan-Co. a be-
sohi ®® 250,000 livres de sucre
pour remplir. les ordres voue,
Mgr J.
a de Salt Lake Ci
W.-T. Russell soumettrar le. nc
jet de; l'organisation, qui com-
prendra un comité de arr gr
pour l'intérieur du pays et
‘comité de: contrôle des mise
sions américaines.
Un autre comité serait chargé
de continuer le travail social
comniencé par l'Eglise aù cours
de Ta guerre. Il y aura aussi
un comité d'éducation, un .cà-
mité chargé Je contrôler les
différentes sociétés catholiques,
un comité de publicité et de
presse catholique.
‘Le Cardioat Gibbons Ÿ reçu
.de
quelle Sa Saintété approuve 1
recommande hautement ce pro-
jet d'organisation. « ;
Les plans dé d’Annunzio
étaient connus
w ashington, 4.
| vernement italien a été informé
en jure dernier- des plans du
Li-Col. Gabtrieh d'Annunzio au
sujet de. Fiume, dit le Jourael
socialiste. * ‘Aventi”.
—_—
rer
Il faut ut que les profiteurs
“soient pans ,
Montréal. 231--L “ésêque.F
thing, ‘dimanche, à l'église de
St- Mathias, -Westimount, décla-
rait que si les profiteurs de
guerre n'étaient pas poursuivis
et punis, une révolution pour-
rail bien éclater dans le pays.
Tous les grands idéals ont été
exaltés pendant la guerre ‘au
profit du recrutement, et les
soldats qui reviennent ne re-
trouvent au Canada aucune ma-
nifestation de ces -idéals pour
au lesquelles ils ont combattu et
souffert. ‘ Que voient-ils, dit l'é-
vêque Farthing?Un égoïisme
implacable régner ‘partout. Les
soulagements promis aux sol- respons: té, l'expédition au
dats ont été en partie qubliés sujet de: 1 aque lle le gouverne-
et Les profiteurs tiennent le haut [ment a déjà reçu des informa-
que
alliés furent avertis, de J'action
projetéè par d'Annearfzio long-
temps avant son exécütion. Voi-
ci ce qu'écrit “l'Avonti”:
“Au commencement de juil-
let, immédiatement après la
grande démonstration et-les at-
taques de la presse contre Nitli
Gabriel d'Annunzio envoya uif
de ses meilleurs aris rencon-
trer le premier Ministre pour
l’informer qu'il (d'Annunzio)
était prêt à Tonclure une enten-
te avec lui, mais qu'auparavant
il SE De ruse rt dé lui permet-
tre d’ac lir, sur sa prapre
Le peuple est affolé, ne sa-
chant plus sur quels hommes
politiques il doit compter pour
obtenir une amélioration de son
sort et l’incurie de nos admi-
nistrateurs le rend pessimiste.
Si des mesures promptes et ri-
goureuses ne sont pas prises
contre les profileurs, une révo-
lution aura lieu, et il est à sou-
haiter que cette révolution soit
constitutionnelle ;. elle renverse-l et. £conomiques d’ une telle ac-
maîtres du|tion seraient très sérieuses. 11
\. [ajouta que touf en appréciant
les sentiments d'Annunzio, il
ordonneruit son arrestation s’il
exécutait son projet.
“Le gouvernement savait que
d’Annunazio. avait comme com-
plices un ainiral et-deux géné-
raux qui giaient stationnés à
Fiume et
a changé
nement a voulu empêcher en
avertissant les principaux mem
bres actifs de la pe ma a
leur action. -
“D'Annunzio fit voir
Nitti fous les côtés favorables
de son projet et ajouta-que les
alliés accepteraïent le “fait-ac-
compli”.
“ÉNitti répondit que les con-
séquences politiques, militaires
jour.
La Éc aux profiteurs en
_-Angleterre
Lonüres, : 2 Près de 900
tribunaux locaux ont été établis
d’après la loi des profiteurs.”
Ces tribunaux feront à chaque
mois un rapport sur des détails | : “En dépit de tout cela, d'An-
des plaintes enrégistrées et sur nuuzio à ccompli son projet,
le nombre, des procédures pri-[ce qui est Arficile à comprendre
s: étant donné que.tout a été pré-
L'eMet moral de .cette loi sisors ti est sous le contrôle di-
déjà fait baisser les prix non: rect des quartiers généraux.
seulement des vivres, maïs en-|: “Les alliés:ont élé informés
côre des vêtements. Ainsi les! des activilés de l'amiral et-des
e le gouvernement
e positions.
habits qui se vendaient aulge-| deux généraux. Tout ceci a un
fois 12 guinées se vendent &gui-|résultat défavorable à l'Italie
ées. dans l'enquête ait e, au sujet
Le “Daily Chronicle” attiré! de Fiume, AU D ae
‘faussi l'attention sur une autre | 2} Arnan: io; recoit-des secours
soite de profits. Rome, 14, — En dépit du blo-
a dépütation .de manufac- cùs-de Fiume par les "autorités
italiennes, d'Annunzio reçoit
continuellement des vivres en!
assez grande abondance.
Dans un communiqué publié
hier, dans lequel il dit que Je
peuple appuie sa cause, d'An-
7
tar if sur
autos el trac-
Sir À. Geddes a Ÿs »ondu
'assu-
à Sir À. Geddes un
l'importation des
teurs.
marchandise
an-| nunzio eite, à l'appui de sa thé-
1 M se les secours en hommes et'en
nord. Tà plupart des: districts principal par la commissiqn{ricainé. matériel, qu'il reçoit “chague
annoncent un-rendement de 15 scOtüiré. | *"Cetté requête nous semble ET Ainsi trois-— compagnies
à 20 boisseaux par, aere;, Îles Enr SRE -[assez effrontée,- déclare de! de. Florence qui avaient étéen-
avoines PriMtAHNTErES” _'soni ; TT “Chronicle”. Tout: le monde royées pour aider à la repres-|.
Presque toutes Lanpess Sommes énormes volées à [sait que les manufaeturiers sion de cette révolte, sont pas-
Nelson, - La récol-[ Chicago. d'autos peuvent vendre añtantisées du côté ‘de Fiume.
te des fr uits est de bonné appu-[
rence, et des. districts fermiers
Chicago, 23.
. du Lac Kootenay l’on s'attend!mes, l'un d'eux
de pomnies, celte arinée.
Stettler, Alberta. 23.
sus de la moyenne.
gès sont hien avancés
-ment de. blé-est d'environ 2)! dernier.
bois$caux pür acre'T
fion laitière et .
l'élevage
tions : florissunes.
‘La ve
déveldppe à vue d'oeil
très dote” immobilière y est! mohltant, d'après les
s
se | diana.
0
de “| Réserve et
la | a retrouvé 893,620,
“Er 1
“du no hi de John
à sexpédier- vingt mille boîtes EWejda, commis de malle dans
le bureai de posté de Chicago,
Les fet qui passe pgur avoir complo-
© récoltes seront, dans cette par-[té le vol, ont été arrètés de bon-
tié de la brovince, bien au-de $-fné heure cé matin sous l'ageu-
Les baitx-{sation d'avoir dérobé $240,000
:le-réndc-{sur un-envoi de $115,000 jeudi nion. des évêques et archevé-
Cette ! somme apparte-
a prüduc-!nait à la PaAque Fédérale de|ouverte ce matin a+ Université
était envoyée à lale athotique de Wushi
animaux sônt-dans des condi-|eompagnie Standard Oil, à .An-|la présidence du Cardinal Gib-|,
Des sommes volées on|bons, on discutera le: projét de
Le reste du|cnorciñation des: activités
déclara-!tholiques dans toutes les affai-
tions de us des rs rates rés" hhportantes, . fé NA
d'autos qu'ils lé voudront à un!
piesi raisonnäble sans une po-
itique de protection.”
- Le commandant :Rizzo, qui
s'est signalé aw cours. de -. la
guerre par son audace, est ar-
mem rivé à.Fiwine. Le fils de d’ it
; MIRE ‘nunzio est venu aussi rejoindre
Importante reunion de l'é- son PR qui nd SouTrant d'in-
-Piscopat at américain somni
Un jeune ‘officier de inarine
qui vient.-d'arriver de Fiume,
dit que d’'Anmunzio est fatigué
: rôle dé gouverneur militaire.
Washington, 24. A une réu-
ques des Etats-Unis. qui s'est
02002 -—
Là 1 Ligue des Nations peu
populaire en en France
Paris, 2. »- Le premier mi-
nistre. Clémenceau A fait d'im-
porthntés déclarations hier au
gion, sous
Cca- |:
rères dans l'é- [in Ligue
Feraient
Schimbré, de Toledo : 4 de S;
e, en
he Érattne, les Etats-Unis fini-
une lettre de Benoît XV /dans/Âa-
: Le débat reprendra demain
Le gou-[matin, celui-ci n'ayant-été qu a-
article intitulé: “Ceé-que cachent
blit que le gouvernement Hearst
à Sighor |
lie ‘ur Société Centrale, toutes les
S] associations de charité, et d'é-.
fe ARemane, ét
T pes
+ +"
| Bis. Union” ,le
isation,
de son ji
méthodes
ne our son exécution
les fervents propaga-
| ses du’mouvement, devant le
TA
vail organisé et est ün
re uveler ce qui c'e
aitily. a trente-ans aux Etats-
e: M. ua et
ë. fist “précisément
vil ait à l'inel
assurer la.k
son pays, qu'il a exi
meux {iraité-de protection qui a
été conclu entre la France, : la
LE amine ét les _—
nis.
Cette quéstion de la ossibt:
mé de la non-rallfication de la
par. le gouvernément|
gr américain a été amenée devant.
les greg *à dans la journée
d'hier. par M. Louis Barthou.
Le débat, qui s'en suivit a duré
1|toute l'après-midi.
.On croit grhiarent ën
dépit de leurs
Unis.
.Ces dleours, ont fait sens
ion äu cn ro étant. donné
‘que nômbre de délégués, sont
en faveur.de cette organisation:
On les a interrompus. fréquem:
ment ‘et pur souvent les memi-
bres les pis. modérés du. Con-
s
© Laurier poète
Lare% ns sn
: OttaWa, 24. — Le DrJ.K. Fo-
anglais des poésies françaises
ue feu le Très Honorable Sir
Wilfrid Laurier -a composées
entre les années 1863 et. 1867.
Ces morceaux de litérture ca-
nadienne ‘seront publiés, en
fran 6 et en anglais, dans: In
% vie de Laurier, qt pride rrefes-
A l'objection faite par run seur Skelton, de 1 Livenet de
des membres de la Chambre, à Ouen, detil en ce moment
RE que les besoins. de La Voici uné nouvelle phase de ta
rance”consistaient moins : en|° le l'illustre À d'Etat
garunties légalés qu'en garan- vie-de l'ilustre hommé: d'Eta
u peu, connue par le publie du
lies politiques, M. Clemenceau rés}
a répondu que, lacc éptation ou. bn se ; À
lc rejet de la Ligue n'affecte: FU due
raient en rien les traïtés con-| Inertie du cabinet italien
clus, que ceux-ci gardaient tous © "17 ARS NT RE UPS
té leur forte et obligeaient- les
nations qui les ont signés.
ront par açcepter la Ligue.
C'est ce qui ressoit de la Plu-
art des discours: rondncés
ier, en-particulier de M. Tar-
dieu et de M. Pichon, : : .
Rome, 25. -— Les. arinistrés
du cabinet italien ne se “mble ‘nt
pas, à ce qu'il a appert, se re ndre
compte de la gravité de fa.si-|
tuation à Fiumeé, ét surtout de
la sérieuse difficulté de. régler
Les élections et la défaite du|le problème d'une façon satis-
faisante.. Iks ne veule it.pas
ouverne ent t_ontarien”:|fa
UV Fservir dé la Force: pour réduire [8
— Le “World”|le poète rebelle, espérant tou-
ublic te matin un|jours l’amener à la récipiscen-
ce sans effusion de sang.
On croit d'autre part que la
persuasion në saurait avoir rai-
son de d’Annunzio. Sa popula-
rité s'étend et son audace n'a
plus de bornes. Ses hommes
s’avancent actuellement vers
les villes de Trau, Sebenico el
Spalato, -+
Le “Messagèro” s'indigne dé
l'inertie du gouvernement et lui
reproche de ‘provoquer par son
aftitude une nouvelle guerre:
journé. g JS
a ee
Toronto, . 24.
de-TForonto
les élections”. Le “World” éta-
ést en danger d’être défait aux
prochaines élections: :Il dit en-
tre autres choses que le minis-
tére ontarien a été aussi aveu-
gle que les Allemands dans le
diagnostic de la situation poli-
tique actuelle de l'Ontario: Cet-
te situation, ajoute-t-il, est bien
plus grave que le gouvernement
ne. l'imagine, et on ne tardera
pas à s'en apercevoir dès les
j
débuts de la campagne électo- rar tissé k
rale." Gas F On: accuse les profiteurs &:
DE — - Montréal. Re
Une lettre du Pape . |. LA ET rer ;
ain à \ à Montréal, 25. Dés accusa-
Chicago, 25. — Dans'un mes-| {ions ont été faites devänt Ja
sage adressé à Mgr Mundelein,
archevêque de Chicago, Sa
Sainteté Benoît XV rend hom-
mage à la loyauté des catholi-
que: s’allemands-américains en-
ver$"les Etats-Unis, comme au
travail qu'ils ont accompli par
Commission du Commerce, ce
matin, à l'effet que des restau-
rants chargeaient seize sous le
morceau de larte aux pommes
et que les fausses-denits qui se
fabriquaient à $5 se vendaient
à°200 pour 100 de profit dans
plusieurs cas; qué le sucre sel
vendait {reize sous la livre et
que Fon ne pouvait s'en procu-
rer à moins d'acheter d'autres
aliments, qüele spa hetti et le |:
pain se vendaient à « es pr ix x:
cessifs.
ducation répandues par tout le’
pays.
de par le caractère même de
la lettre, ke Saint-Père s'adresse
pratiquement. à toûs les catho-
liques des-Etats-Unis, et leur fe
signale les devoirs de l'heure tn ES ar: 3 A SEE à
présente. * Tous doivent aider: à| Lenine aurait été assassiné |’
aes |. de me À TT
a ti D — — —
ramener Ja réconcilation
peuples, à cette époque de re- $ ie À
construction intense et à ban: Paris, 25. — Une-rumeur cir-
nir à tout jamais le règne de la|Culait à la bourse aujourd'hui
haine et du mensonge. à l'effet que Nicolai Lenine, le
‘ En outre, Sa Sainteté recom- | chef: bole réviste russé*avait été
mande aux catholiques : -alle-| assassiné. :
mands de venir en aide mAin- Londres, 25, — Dés combats
ténant à leurs compatriotes viclénts'se sont engagés durant
‘de: .n'écouter loute la journée d'hier dans la
que la voix dela charité, afin région de. Pakov, . sud-ouest
de raffermir F ocuvre de la paix de Petrograd où les Esthoriens
entre toutes les nations, et c’est ont anéanti deux régiments bol-
ainsi qu'ils déviendront de réels |chévistes, mandenit les dépèches
biénfaitéurs de Fhumanité. | de Roumanie reçues ici aujour-
Mgr Mundelein, en. faisant d'hui. = p
part _ Fi du Pape, aux CREER SERRE
membres'de là Central-Socie-
ty, réupis en congrès dans sa Lenoir et Caillaux rat: mis
ville métrdpolitaine, a exprimé en présence
toute sa satisfaction du grand ET
honneur que le. vicaire du! FRERES eur es
Christ leur a fait en les choisis-|. Paris, 25. Pierre. Lenoir,
it pour travaillér de conecert | dont l'exécution a été suspen-
âvec Lui, dans l'oeuvre de-ré-|due vendrediimatin de rnicr par
conciliation. : les autorités françaises, ‘ sera
+ en probableïent confronté avec
0 = [oseph -LaïHaux;—ex-prémier
pposéé au “One big union” ministre, vendredi ou. samedi.
D'après “L'Echo de Paris”,.Le-
. Hamilton, Ont. 21. — MM. noir est dans un élat de faibles-
L-W.Hayes ‘et Mathers Wall.!se extrême et il est inc: ipable de
me mbres. du Comité: ‘Pxéeutif se tenir: debolt.…. L est 'obsédé
de l'idée qu'il a été exécuté.
Rixe sa “etitre Fran
cais et scans cl
———
L'üsthme. ehontque!: — Bedu-
coup souffrent de façon chr oni-
que dé terre et ont fait l’es-
sai de tant de remèdes qu'ils |:
sont GConvaincus qu'il: n'existe
pas de réméède efficace côntre| Be lin, %. -— Dans üné ren-
ce mal - Is devraient ‘lire des contre à Sarrbruck entre, des
letires que les fabricants du re“! bourgeois allemands et ‘des s6l-
mes du docteur Kellogg con- daits françäis, plusieurs - per-
tre l'asthme ont reçu dé centai-|sonnes ont été'blessées des :
nes. de personnes dont le eus |côtésh, d’ après le-journal Lokal |
leur semblait désespéré. Même | Anzeiger. Une ‘centaine de
dans les cas d'asthme qui du-|Français ont participé: dans'cét-
rent depuis longtemps, ce fa-|te émeute. Plutieurs Allemands
meux remède ose prompte-|ont été arrêtés pour avoir atta-
ment. ; "que les Français Û
pire
ran traduit actuellement en vers je. le s pl
de -dos,
vais. rhume.
reih de si vilaine façon que je
ne, pouvais ni dormir, ni tra-
vailler:
“Quand je me pene hais, céla
Lime faisait si mal que pour me
relever je devais m'aider dés
coudes sur les genoux.
ne parvenais-je
ment à: me redresser, Ê
“Après avoir pris deux ‘boi-
tes: 4: Pilules de Dodd pour le “
là douleur deYint moins
violente et mon dos est mainte-
nant suffisämment bic pouir«
vu que je ne me surmène pas.
“Un de Mmes jeunes fils souf-
frait aussi du réin au
qu'il devait, la nuit, se lever à |
toutes les demi: “heures...
hiles de Dodd pour le rein. l'ont _
peut mainténant dor-” |
a nuil: + , À EC
rein,
rein:
nées
Vins,
Si oui,
_ Fini, sù vébtembre iso”
mere et-Je fils sont
ons.
gone à du Travail et ue l'In- Du bien ’ dé to à rioai
nintion- en opposée aù ue Pe de rein ee fait
mer ont rrbri.de gt à de dos de
Mme Larson:et ont mis fin
: aux longues nuits d'insomnia
dé son fils. re |
Bergland, Ont. 29 septembre
(Spécial) -— “Je suis beureuse -
de pouvoir _— témoignage
aux Pilules de Dodd pour | Le :
rein du bien
grès ofit qi sed avec for- se |
ce. cris, ces dé ations. connue et. fort - ‘estimée |
ous les employons comme re- à.
mède de fami
raux de dos."
uand je oDmandsl des
de Dédd pour le reins”
us- par fantaisie it
par conviction dans leur *
leur. :
“J'étais tout brisé par ut,
Jè contractai un mau-
onn
mrir toute
“Je suis
aux Pilules dé Dodd pour le
réin. ;
Les Pilules de Dod pour le
rein guérissent
cinq ans des affections du reïn.
jInformez-vous auprès de
voisins.
Les Pilules..de.. Dodd | pour le
-5Ù sous. la boîte ou six
boites : pour
les marchänds ou
Medicine Co. Ltd,
D ————
Grève
Londres, 25. --
de Dundalk; Irlande, se
mis en grève, hier,
obtenir un salaire minimüm de
$35 par semaine ou de sept/gui-
Leur salaire actuel ne dé-
passe pas 275 guinées. Plusieurs
malades qui se sont préséntés
aux. dispensaires ont été refu-
sés. ;
—— mr —
FAITES VOsT liqueurs ‘chez
"Hop, Ale,
etc. 11 n'est
pareil
$1.00,
ner, Casier 138, Watrous, Sask.
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y %
N ON Det
u'à ma famille”,
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Rensgignemerte complets sous sceau,
pour
n'est pas tel qve dit,
envoyez ce coupon .
‘Pour. renseignements: |
de veux acheter. : "
SE: ti)
deux recon- L
u'ellés m'ont Fait
dit: Mme
#
ici, Er
çontre. -.les
asia
Cela se jeta sur le
Erivore
que. difficile-
-
point
Les Pi:
irès reconnaissante
depuis -vingt-
vos
$2.50, Chez tous
The :Dodds.
Toronto, Ont.
de médecins en
Irlande |
— Les médecins
soné .
Îls veulént
vous,
bière a gingembre,
réquis ni alämbic, nt ap-
- Simple <t bon:
Argent. remboursé # co.
Gustav Detber-
L.M. CC
Dissm: Tito
Portage, Winnipeg
an 5694
+4
WINNIPEG, MAN.
FRS
fre aan mue
*
Li]
_ LA SCIENCE A LA POR.
ange
. TEE DE TOUS .
.… Qu'est-ce Yui garde le soleil.
rs En feu? * :
Vous pensez peut-être: que le
éclaire parce qu'il brûle
. tomme un immeñse foyer. Mais
lorsque quelque chose brûle, la
subrtgnée dont elle est faite se
mé où '# combine avec
l'oxygene de l'ätr dans lequel
elle brûle. .
Et pourtant le séleil est àj
chaud, que rien en lui ne peut
sc cofnbiner avec autre chose
en ne pourait brûler dans Île
soleil. H y existe beaucoup de
choses qué peuvent -brûler, et
même. beaucoup .: d'oxygène
pour les brûler, mais es choses
“sont séparées l'une de J'autre
“par là chaleur. En'outre, mé-
me si ces choses, ouvaient brû.
ler dans le soleil, cela ne suffi:
rail pas. pour lé maintenir en
feu, car tout cela aurait déjà
“brûlé slepuis des éternités ‘et
nous ne pourrions même: pas
CXISTCr. - Le e Were
AU cours du siécle defnier.
on a découvert l'origine dé. ln
chaleur +t de le me sp
lil Elles sont simplement pro:
‘Juites par le réirécissementtou
la contraction perpétuelle ldu
soleil. : Le soleil se rétrécit, où
se contracte par l'effet de lu pe- |
santeur, cetté force qui oblig
toute parcelle de matière exis-
tant dans l'univers à, attirer
vers elle toute autre parcelle!
de matière dans l'univers. |
. Le solteil.se contracte di puis |
d'innombrables siècles, de mé-|
me que, la Lerre.s'est contractée |
aussi. Au fur et à mesnre qu'il!
se. contracte, les-parçelles de!
matière dont 'solefl est com-
La
‘
“ % |
ase se hcürtent les unes contre |
E autres, et leur mouvement|
st
trouve arrété. C'est _ainsit
lo chaleur. e& la “lumiérc.
; l.__ produites. _absolüimeut!
come lorsqu'un silex ést frap-
pe par un autre,
C'est donc la: pesanteur qui
nous donne la’ chaleur et la lu-
miere gräce auxquelles nous
sonumes en vie, Il ést probable
aussi que la chaleur du soleil
esCentreltenue comme l'est celle
de la terre, #insi que nous le sn-
vons maintenant, par le fait
qu'il contient cette substance
extraordinaire appelée radiunr,
mrsminssrassseg
qui produit de
elle-même: à :
"Pourquoi le eiel est-il bleu?
Ceci a été découvert àu siècle
dernier par un savant anglais. |
John Tyndall.: Vous n'en de-|
Nineriëz jamais. la raison. Lc!
PROPAGANDE!
À AR L 7
Liste des brochures, tracts et voiu
mes que l'on peut se. procurer au Co
mité de Propagande ‘LaVérendrye, St
Bonitorce f :
la, chaleur par
cette
[vaincre «
Re
ciel reçoit sa lumière du
Lorsque: le soleil n'est
le ciel est obscur. Douce le À
du ciel doit être réfléchi à nos!
yeux par quelque chose qui se |
trouve dans le ciel et qui garde |
toutes Jes:autres couléurs dont
est composée la lumiere blan-!
che du. solcit, inais qui téfléc
le bleu; et c'est bien. cè qui
passe en Féalité. Le ciel. ést
rempli. d innombrables pakcel- |
‘es de ce que l'on pourrait ap- |
peler de la poussière, des ‘par-
celles de matière” suspenthre
lans. l'air. Gelles-éi ont justé |
‘a dimension. nécessaire Dour!
sdisir les ondes de lumière
bus longues, qui produisent les!
autres coûleurs,
flécHissent les ‘ondes Les plus:
Si l'on pouvail enlever loute Ja!
matière solidé. conteñue dans!
l'air, te ciel serait obseur.‘ ct!
oute ka iumière dy jour proi
ieñidrait directement du sotci
La lumière du ciel est don
Sien. dela lymitee sbtaire té.
féchie, mais settloment Ha par-
‘ie de vette lunrar
le bleu
Comment le P'ano lail-il de :!
le musique?
qui forme:
9 La tnhanicre Ja phers sinrple de
“en rênde: compile est de pren
re un bout de ficelle ét:de.
epdre fortement par ses’ deux
xtrémiite Ce bôut de fiééil
7 ssernhle.e ictement Hu cof-
les” dé- Pintérieur - du piane
pion frappe: lorsqu'on touch
es noles, ct les cordes du pra
16 sont tendues lou juste conm-
né l'est Le bout de ‘fice He. Lors-
qué l'accordeur vient chez4ous
f, les
piano pouf Voir si!
nl: + ce
il véritie
térieur du
elles sont t
tendires
totuitus ont (ROIS 1
rrrectemént!
Si l'on prend mainte
nant ce bout de-ficelle ot qu'on:
le vivement entire Test
doigts, on le soit:- boys d'a.
vant'en arriére el. l'on entend!
pla
Hr-sent-Hfe-esertt Eesti rt 0l ;
’ ‘deivves ne savent pas parler,
objet -quéleondie Se imeut de
manière on lit qu'il xt!
bre, cé qui $ignilie simplement
*: £ s F
qu'il tremble. À chaque mor-!
vement effeelué :f,S87 produit |
une petite onde dañs l'ir * Sil
l'on: raccourcit he ficelle où si
on la tend: davantage, elle vi-!
és VA
bre plus rapidement, ‘la note!
musicale produite est plus ais!
guéë et ressemble das an fage aux
notes hautes Au piano. Lors-|
qu'on parle où qu'on chante ‘on |
fait trembler, ou vibrer, deux!
PEN ET SR RS RER RENE IIS
Employé. selon Ja--direction.
le Coïdial eüntre Dysenteri
du docteur D. Kellogg soula
gerä même däns les plus vio-
lentes maladies de la saisOn |
chaud Dès qu'apparait lat-
laque du mal on:ne devrait.pas
tarder à recourir: à l'aide de
Cordial. I} agira immédiat
ment sur l'éstomuc et les intes-|
1 .. : |
ins et allégera toujours lirrita-l
tion-et la douteur. Un essai con-!|
1 .
vitc
LAS
1
ce
lavé de CCS !s-
soleilicordes situées dans la
là, appelées cordes ivotales, de la|de les faire éduquér. Si
leu | méme manière que la ficelle ou} mier se réalise d'habitude, eñ
‘on peut|est-il de méme du second?
Tr dans
ès è
| voir-vixrez
démocratiques.
Les À
la corde de piano qu
facilement voir bte
l'instrument. Ë
: Ce sont ces’ vibrations
se
'sives où simulianées des cordes | peut l'estis
hit! fortement tenues du piano, que} dre; c'est qu'on a soi-même re-
‘5c'} nous produisons par le-.choc!çu une bien piètre éducation.
d'une sorte de petit marteau
ieutré, qui produisent les |
‘qui forment:la musique’
vous avez uéjàa entendu €
iouer dela harpé, vous
rendrez très aisément de que
maniere le piano ‘rend.
sons harmonieux. Dans
les vibrations de
re
Ù
joue ainsi le même
loigts, du harpiste.
- La rentréè des classes
L'élite de demain, la foi, l’a-
venir de la race, pour-employer
chères
aux péroreurs des salles de pro-
motion, va,-dans quelques se- ANÇAaLs: DRrIE
forger | temps, été négligé. : Ce pendant
autant. d'expressions
naines, commencer à
-|re à son im
linstruire mais atrssi avec
u'on necrie pas à lo puérilité.
Ce détail du programme scolai-.
portance. Si on ne
5
ou la pren-
Ce
s|primatres. peut, sans présomp-
i]tion, s'appliquer églement, à
L VU} nos institutions d'enseignement
COB-!sécondairte Dans les unés et
les autres, il ÿ'a de la bonne be-
ses! sogne ‘à tailler: IL.est indénia-
Fune, ble que notre par
s-cordes sont |est encore loin de
nrais elles ré- produites én°les ponçant. avec! comme
les doigts, dans l'autre, c'est le
ourtes, qui prodlisent le bleu !pétit marteau qui les frappe e1
la perfection
‘il'est indéniable qu'il
doit tendre-dejlus en plus à la
perfection. Pour atteindre cet-
rôle que les|te fin, il faut tout lé concours,
toute l’aide de nos iuaisons d'é-
ducation, Il faut que les écoles
primaires, q'ie les collèges clas-!
siques fassent plus large la part
du bon langage. Il faut que les
professeurs s'appliquent à la
correction et par lt métmeg-y ap-
pliquerit leurs. élèves.*
Le français, parlé a, de tout
es armes. C'est, la rentrée: lesique l'on enseigne l'art d'écrire
écoliers et les écolières n'igont {l'on semble se soucier moins de
us au, bois, ‘Tes collégiénstdi- | celui de parler. Ce qui est à la
ont adieu au.cinéma, et les étu-| fois une erreur, ur illogisme et
diants reprendront les
qu'ils ont, jusqu'ici,.en si grand
cours |une bourde. Ecrit bien qui par-
le bien. En enseignant à-par-
ombre, suivis avec bien peulltr, on se-trouve parle fait mê-
dé profil pour eux-mêmes
£hcore Moins DOuE lé peuple
et!me à enseigner à écrire.
L'in-
[verse peut quelquefois être
dont ils sont suppôsés être, l'ir-| vrai, mais il ne Fest bas. tou:
réductible
et: vaillänte
garde. "* PA
Ÿ
++
Le progrämme de nos écoles
primaires x été en ces derniers
temps avantageusement rema-
inié
Puisque d'autres correc:
ons doivent être faites, que n°
grefTest-on: un. paragraphe, un
simple: paragraphe, concernant
liygage des élèves et les ma-
res des {lèvres Beaucoup
di
beaucoup plusme savent pas vi-
vre, Et H appartient autant
uix professeurs qu'aux parents
de leur enscigner les notions du
langage ét de la civilité. Afin
ue rendré ce paragraphe aussi
srelique que possible, il impor:
terait cependant que ‘les mai-
!res"apprennent eux-mêmes .à
Mien parler, soignent davantage
“eurs conversations. leur: dic-
tion, Icur vocabulaire.
De'quelle utilité peuvent être
lés dictionnaires de bon langa-
|ge si les enfants n’entendent ja:
mais dans la bouche de leurs
| Supériéurs les-mots. que_ ‘ces
{lexiques leur donnent \lcomme
| étant les mots:justes et
vrai-
218? Quant au sa-
Gii:_enseigrement
ne me,parail pas”'aussi facile.
Phys démocratique, mofurs
hélas! Cela
A Lee"
toutefois pe dégage pas les ins-
tituteurs de leur responsabilité.
Les parents envoient leurs en-
fants à lécole non pas seule-
nent franc:
DE “L'ACTION FRANCAISE"” . [sertions ‘ment avec Fobjet de lésfaire
“Almanach de là Langue. Frañ- is naar En
Çaise'”: 1916 $ .15 . ‘ = D T'en .
“Almanach de la Langue Frañ Nouveau Directeur du Pacifique Canadien
Gaise'”': 1917 SEE $ .15 F 7 - : ï : è ep
“Almanach de :la Langue Fran: « | ” k
. Çaise' 1918 : $ 15 > Nu HS TA À
“Almanach_ de la: Langue Frän à ;
çaise 1919 $ .20
“La Fierté R, P. Louis Lalan. « €”
de,. SJ Art $ ,10 :
“Pour l'Action Francaise" Abbé
Hisnel Groulx ; St
"La Veille des Bsrceaux”: Edou:
ard Montpetit $ .10!
“Refrains dé Chez Nous’ $ .10
“La Langue Cardienne de la Foi:
Henri Bourassa $ 25
‘La Races Supérieure R:P::L
Lalande, SJ Û $ 10
‘& Dellard Hevenait''> Abbé Lio {
nel Genis + 10!
La Vateur A - ncmique du Fran F1
cais Léon Lorrain; ,$ 10
Paur: la D'fense de nos Lois : |
Française A. Perreault' $ .25
“La Dépôrtation des Acadiens |
Hehr! d'Arles $ |
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«“*Les Räpaliages : Abbé -iconel |
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DE LA.L'R'F. A; ETATS:UNIS. |
Le Français dans nos Ecoles" $ © |
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La Feconetruction Sociale" ’ ù œ |
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Rouräésh: Edition-d: luxe $ 60!
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TOTRES MISTOFTQUEST EN TNAGES $ 15] û
“L'instruction Obligatoire" $ 05} :
L'Eccie "Obligaoire”., Mgr L.-A . PS à
Paquet $ :05 et . 7
—te-Premier Patron du Canada’ pee ' +
R, P. Levompte, S.J $ 05 Le capitaine W. J. Shaughnessy (à géfiche es servant pour faire ls ventilation
“Le Bon Journal"! R. P. Marion | de son abri Souterrain ‘au front, @ un apparel spécial capturé aux Allemands
P, .» . $ 05 \ di gt h à
° > Docteur Painchaud' C. 1 On 4 annoncé brièvement et 'cofatdné qui fut me d'organiser ls
Magnan ÿ 1 5 .05! la nomunation de l'hon eapitei . J. femense ‘tournée que l'on fit faire en
Syndiétats Nationaux. où interna Staugbhpessy au poste de’directeur dii Irlande ‘à ce bataillon. . Lorsque le
tléna dv ?”: Henri Bouaosa $, 10): Pacifique Canadien, ‘pour : remplacer : 9ème fut divisé pour sérvir de renforts
L'Ecueil Démocratique" Mgr?! Yhon Ja Dunsmur dé Victoria. Kà d'autres Grités, le capitaine Shaugh-
LA. Paquet 1..,8 10! CA. qu s offert sa démission y 4 nessy nases eu France et rVit -cotmime.:
Ua Faillite de l'Autorité dans la | quelque temps pour eausede santé aide-de-camp dù brigadier-génére]l
Socièté et La Famitle” s. 10}: le capitaine Shaughnesey:est l'unique, Smme: le, représentant du-C à A
L'Eglise Catholique auganada” $ 10: : fils de L6rd Shaughnessy. quu fut } quertiers-généraux de -l'armée ‘ britsn-
“Les Choses qui s'en N, NÈ Fr: ix-nepf'snk le président petit "-mque Il.fut ensuite fransféré aux
Gilles, O.F.M $ 25! fique Canadien et qis £st ma Srquarters-généraux canadiens, où pendant
Notre Jeunesse": Guy Vanier..p 10] chef du Bureau. de Derpetios ©: plusieurs mois il fut aide-de-camp . du
1 N “edmpagnie de. chemins : die ; mA | : pt-général S Arihur Otirrie, ; le
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Mi o : P AND Angleterre ‘ " À Euraÿe il v a quelques semaines et i
FPATTE 08 VOOPARANEE, E s'enrols "41 romibencemieut dé: ‘a occupera, désormais des devoirs de sa
[l 39 Avenug Provencher, *rpuerre, cÔmINE Capitaine dans-le téième" proiéssion el de l'accorm plissement. de
"+ Saikf-Boniface, Man.’ ‘Éstaillon iriandaus, récruté à Montréal &' : ses nouvelles fonctions:
4 ñ Là Ft à 7
; e
arriére-|JOUrs.
Nombre de profegsion-
nels s'expriment dans le Janga-
ge écrit comme ls s'expriment
dans le kaingage parlé. Je dis
nombre lorsqu'il serait plus
justé de dire la plupart puis-
que avocats, médecins, dentis-
tes-et.autres semblent avoir à
coeur la réputation d'être les
FT Personne ne devrait marcher
avet peine'à cause de cor$ aux
pieds quand: il-a à-sa portée
un reméde aussi prompt que le
Holloway's Corn Cure.
s
= Ê 4.
faire plus que 2 ou
214 milles à l'heure dew#
font parce 'qu'is ne
sont pas en état de:
vous donner tin trac-
teur capable de faire
effort disproportionné:
Pour arriver à ce v
dela vitesse. C'est li
Notre tracteur, pou
les résultats les plus sat
dans Je champ.
l'action daus Ja
#
|
|
«
}
Conessionriuires vec
celui
le pre-
qui s'applique aux écoles
ler à nous tous
La charrue
Vovez notre machine au t
\
ennefnis de lu-}
an
mal,
ignorance peut-être, mais, <en
tout cas, hous le parlons mal
La lutte que l'on mène par les
Fou!
scra nulle si elle n'est continuée
à l'école, au collège ‘par le pro-
|
jourd'hul séra plus ‘française, i
littéralement parlant, que. celle |
qui encombre maintenant les!
professions libérales. “ras |
HR : Turc.
: La Presse £
a
‘ Le son peut-il être vu |
et touché? |
Fa Se, a |
Celu, direz-vods, est dificile à |
croire, parce qu'où n'a: jamais!
vu lés ondes sonores. Mais ces
ondes ne sont pas destinées à
être vues, mais à être
dues,-et tout le-monde les a:sû-
rement entendues. Ces ondes
de-lair, que l'on ‘entend, bien
qu'on ne lés voie pas, ressem-
blent de la maniére:la plus cu-
rieuse aux ondes de l'eau; que
l'on peut: voir, bien qü'on ne
puisse, pas les’ entendre! \ Æn
fsomime, l'air n'est pas trés dif-
férent d'un vaste océan: d'eau.
Si deux poissons vivent dans la
mer ou dans. un Haic, on eom-
prend aisément que si l’un
d'eux vient à remuer la queue; |
il-produit ane onde d'eau que
Pautre poisson pourra perce-!
voir. -
Lorsqu'on ‘ parle et: qu'on”
chante, ou qu'on tape. des
inaäains,:on produit une onde
d'air très semblable à une on-
de d’eau, ef les personnes voisi- |
nes la ‘rèssentént. d'une manié-
re particulière “qu'on appelle!
{entendre. Æn"Sômime; -enten: |
dre,-n'est-ce pas señtir avec les!
oreillés? ‘Les ondes d'air se!
déplacent très rapidement et
À dar AE
ü Quelques faits sur la rapidit
d’un tracteur de ferme
u’un grai
l'est vrai q
à FUN
plus sans qu'il y ait déperdition de forces pour le traéteur. er .
Certaines ‘conditions peuvent faire.qu'il ne soit pasepossible de labourer: à
seront relativement peu nombreux comparés à ceux ‘où l’on pourra faire
montrer qu'il estitrès fatile de faire du 1
‘sulfat il faut-que. dans la von
un À
ri
wfaisants dans le labour.
traction:
ag
+ SASKATÇHEW AS GRAIN GROWERS' 4SSOCLATION
Sr ’ Regina, Sask.. !
Saskalche
siccursale pour la!
À F4
ut
ulte du bon.langagé, ! 5mme
entend cette onde: n'y
fesseur: .C’ést à lüi qu'il appar- | *UCun: plaisir, &t c'est ce ‘type
tient de dire si la jeunesse d'au-| de son qui constitur-te bruit
si
chante, où-si l'on touche’un
note’ de‘ piano, les ‘ondes: pro-
| duites sont régulières et égales,
! l'oreille en est flattée.et l'on ap-{
‘pelle cela un son musical.
tion de rapidité dans le 1
Au conträire,
LE CONCERT
LETELLIER
= ———
citer l'enthoustast
enten-; diloire nombreux qui était ve-
uuel'entendre, di
‘Le fait est que notre ténor'était
er VOIX.
faite, à leF point qu'on ne pér-
dait. pas une syllabe, ! Ees Se-
mailles, Viens: ave
‘En passañt par.la Lorraine, Les ||
Heures, ont été
ment applaudies, et lui ont valu
pvusieurs rappels.
Lterminé par © Carillon et O0 Ca-
nada, mon paus,
* Résidence: Garry
=
| Le ta
+
DU MOULIN
278 RUE MAIN
Les constructeurs duträcteur Stinson ont fait dans de nonibreux pays un
wrand nombre d'expériences des plus concluantes quant à la rapidité de labour
‘du tracteur avec le-résuktat: que ‘notre machine a conquis une gré
ur et autres travaux analogues.
dl\nombre de manufa
abour à trois milles l'heure et ce
Lg
ception et
n
CORÇCSStONNEON
‘
72
À
Hi
Au dire d'un citoyen, de Le-
Ftelliér: M Hélie-a réussi à sus
£ mages, nous: vous donnerions one sta
manche soir. de tt :
{Il Voila trie excellente. méthode pr
. pe » + | Vager vette ÿ» laire : Aévetié
La diclion était par- attetvdrer ainsi toutes les fonulies d'irne
péroinse et vi de 5 4
images par fan plus v'ést time
rare Kastot le vous procurer: cette
“26 belle statue qui vus seta mme | ec
ce nous, pelit,| tion car nous sommes. dsourés que
Sainte Rita vous
É Téléphone Main8468
illeur qui donne la qualite
SPECHAUX-DE—
é: au labour
+4 ,
“exécütion , du:traeteur on tienné'ce
acteur très important. que lon n'a pas oûblié daas le. trAacteur Stinson.. 4
d'un moteur Stinson-Beaver à quatre cylindres, usant de la kérosene, donnera
La.valeur d'un tracteur se mesure. à-ce-q41}-pent faire
ravail dans le.champ'et vous admettrez que Le Stinson 4 1nis'de
re 11-Noité-Dème Est ee
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{ : j Le :
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ñ $ 4
+. 4 à
l F4 LE
\ re , \
4 \ ML PEN &
Si ARR %
mn PE ét \ 9
ais elle ont MM. Dorval et Langlois furent
üutement appréciès. 7
Comme la musique est la bri-
sequi passe sur la misère hu,
maine, nos concitoyens de Le-
tellier set de Saint-Joseph : se
| promettent bien d'assister de,
nouvedü au concert Hélie, à $t-
Jean-Baptiste, dimanche le : 5
octobre prochain. ra
des
trouve
quelRqu'ur ||
« C : #
Dames, garcons el titles catholiques
Propage la ceretion à SAIRTE-RTA
Aëüb de propagèr activenient la dé
vbtioh à Ste Rita (wrotectrice des inc
rables et des désespéres!, rious avoss
dessiné une ie image pour livre de
messe, 2h par ds, tuance Lieu noir,
hord ‘nr rebel, portrait de sainte Rite
sur un cote el au ie MIE prrere. Le
Cette jébe petite image se vend}
sous pièce. 6 25 sous, 12 pour 56.
: Si vous vendez: -60 de’ ces images,
ous vous denterons une belle stétue
de Sainte Rita, À pouces de haut: noir
de jais. Sainte Rita imédite, tenant mn
cructhix: EN
Î St vous vendez 300 le des limoges,
donnerons une statue de 12
+
A
HELIE
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2 où 214 nilles à l'heure,
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comprendre le pourquoi
dé cet Hvis. | Si vous faites
un examen de la question
vous constaterez que ceux
qui conseillent de ne pas
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022.
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Fenev, Urterburne, Man, Maison Saiut- | hô(és de I. Poiron, inspec- guerre,
teur de he è Je + *
y *.» M. P.- Beauchamp, Mme
“SAINT- BONIFACE. M. . Jutras est démén: agé Be pa et Mile Beauchamp
.| de er ruc 1 RIDE à 83 rue Vic-|nous quitleront ces jours-ci
tôria, Il a fait l'acquisition ‘de | pour aller: Mont-
——— FD à
M. le, docteur Colin est parti
: pour un voyage d'une quinzui-
ne dans Fe :
MUR {Finfanterie de l'armée améri-|revenus résider au Manitoba,
M. läbbé Brodeur est parti|caine, était en visite, ces jours rs :
pour un:-voyage de quelques se- reed chez Sa soeur, Mme! ‘M. et Mme Antoine Gauvin
thaines dans l'Est. 1. Labruère Pacat yd, de Ja rue !sont en promenade dan$ Ta pro-
er MEET Berry.” M; Charpentier } élait| vince de Québec.
l'abbé
. . , . De Je.
M Jubinville, cure de rie ains-débarqués sur “IG sol ‘M-É hartes: Cusson et sa fa-
la c athédrale, est de retour d'u- français, Ù 3 mälleinous ont quittés pour al-
ne-vacance-dans là provinee def tome ler fe meurer en Californie.
Québec et les Etats-Unis, Mme Arthur Vermandie el NEA une assemblée générale. L'as-, Un train arrivé à l’heure
son die prune. sont ci} ce, ef Mme! :-0, Ducharme a fait}semblée votæun don de #35 à! nee
k 5 ment à Sedttle, en promenade |l'jcquisition de la maison de l'école, et ensuite on procéda | > x
chez, des parents. Ml J.-N. Jutras, rue Ritchot aux FR M. Héliodore. | Sgmedi matos es
vers pH RER 5 4 EL , ne? Lauzon fut élu président; M.'en gare de Morlaix, ce qui ne
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L Saint-Boniface, après quel-[riers Packing Co. ésl main{e- [M F. St-Germain, secrétaire Letlaité. Les Morläisiens, au lieu
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